Le jour s'étire en une toile dorée,
Les ombres longues glissent et dansent,
Cependant, le soleil se couche et je suis perdu,
Dans l'océan des souvenirs, je dérive sans chance.
Ainsi, la nuit étend son manteau de velours,
Je marche aveugle, cherchant un écho,
Pourtant, le silence profond m'entoure,
Espérant toucher une étoile vive, mon cœur en émoi.
Mais l'aube timide éclaire l'horizon,
Des rayons tendres percent l'obscurité,
Finalement, tu es là, silhouette dans l'aurore naissante,
Avec toi, l'amour se fait clair, et mon cœur libéré.