Ou comment détruire un peuple, son Histoire, sa culture, au nom de la diversité même :
https://www.causeur.fr/ne-dites-plus-anglo-saxons-283746
Vous noterez donc que le multiculturalisme ne consiste pas à faire cohabiter des identités entre elles, mais de faire valoir d'autres identités à la place de celle des bancs.
Par un réflexe typique de la cancel culture, des chercheurs influents dans les universités américaines et canadiennes veulent rebaptiser leur discipline par un terme qui ne soit pas empreint ainsi qu’ils le prétendent de racisme et même de suprématie blanche.
Toute cette rhétorique r*ciste consiste à assimiler les bancs et le suprémacisme en toutes circonstances.
Dans l’article, elle accuse les auteurs du livre, très impliqués dans la « diversification » des études du haut Moyen Âge anglais, d’incarner un point de vue de B*ancs et de fonder leur autorité de chercheurs sur leur bl*ncheur.
Hors c'est précisément l'inverse, elle veut déconstruire tout ce qui est banc pour mieux faire valoir sa propre identité r*ciale.
Comment peut-on trouver des attitudes r*cistes chez nos lointains ancêtres ? En projetant sur eux les concepts et les attitudes de notre époque. C’est ainsi, par exemple, que des médiévistes stigmatisent la construction, par les chrétiens européens du Moyen Âge, de l’image du S*rrasin comme l’Autre . Malgré le fait que le S*rrasin incarnait bien un Autre à l’époque et n’avait pas une meilleure opinion des Européens qu’il voulait conquérir et convertir à sa religion.
Bref, le r*cisme anti-banc est structurel en occident.