[REDPILL] Baiser ses COUSINES n'est PAS si grave
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272
La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.
La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.
L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
dirty biology avait fait une vidéo la dessus et arrivait a la meme conclusion.
Il faut une "relative" proximité génétique optimiser la génétique d'un individu.
Il faudrait trouver la distance génétique idéale. mais bon, l'eugénisme, le choix individuel, tout ca
Le 20 mai 2024 à 20:38:41 :
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
dirty biology avait fait une vidéo la dessus et arrivait a la meme conclusion.
Il faut une "relative" proximité génétique optimiser la génétique d'un individu.
Il faudrait trouver la distance génétique idéale. mais bon, l'eugénisme, le choix individuel, tout ca
Clique sur le lien du post de l'op disciple de Sganarelle
Le 20 mai 2024 à 20:38:41 Chrysaor003 a écrit :
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres,et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
dirty biology avait fait une vidéo la dessus et arrivait a la meme conclusion.
Il faut une "relative" proximité génétique optimiser la génétique d'un individu.
Il faudrait trouver la distance génétique idéale. mais bon, l'eugénisme, le choix individuel, tout ca
Oui, je cite sa vidéo là, c'est ma source
C'est dit dans la vidéo et je le cite ici, l'optimum est pour des cousins au 3e degré (= qui partagent des arrière-arrière-grands-parents).
Si c'est sur une génération, ça passe, mais sur plusieurs générations, ça fait des troubles mentaux.
Le 20 mai 2024 à 20:44:56 icelewis a écrit :
Si c'est sur une génération, ça passe, mais sur plusieurs générations, ça fait des troubles mentaux.
Lis le topic. Les cousins germains ça va pas mais les cousins au 3e degré c'est mieux que s'ils sont pas cousins du tout.
Le 20 mai 2024 à 20:28:33 JimmyBarbecue a écrit :
Pourquoi utiliser Tinder quand les cousinades existent ? https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
https://www.tiktok.com/@julia_flament/video/7355125664200052000?_r=1&_t=8lLblyO7KJk
Le 27 mai 2024 à 08:24:35 :
Mais comment on fait pour savoir qui est notre cousin au troisième degré ?
Tu cherches les arrières-arrières-petits-enfants de tes arrières-arrières-grand-parents.
Le 27 mai 2024 à 08:28:31 :
Le 27 mai 2024 à 08:24:35 :
Mais comment on fait pour savoir qui est notre cousin au troisième degré ?Tu cherches les arrières-arrières-petits-enfants de tes arrières-arrières-grand-parents.
Oh la galère
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
Ouais bon…
Après est que être « cousin » car on partage un ancêtre 5 générations plus tôt peut vraiment être considérer comme de la même famille ?
Enfin tu l’écris toi même : « 0,78% de gênes commun ».
L’homme doit sûrement avoir plus de gènes commun avec les bactéries parasites vivant en symbiose avec le corps, qu’avec sa/son cousin(e).
Donc ici parler d’inceste c’est un peu overkill je trouve. Surtout qu’après autant d’écart tu ne sais même pas que c’est de ta famille car depuis longtemps perdu de vu.
Sauf à être d’une famille du genre « Jean-Émile de la Ritournelle ».
Le 27 mai 2024 à 08:36:49 :
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
Ouais bon…
Après est que être « cousin » car on partage un ancêtre 5 générations plus tôt peut vraiment être considérer comme de la même famille ?
Enfin tu l’écris toi même : « 0,78% de gênes commun ».
L’homme doit sûrement avoir plus de gènes commun avec les bactéries parasites vivant en symbiose avec le corps, qu’avec sa/son cousin(e).Donc ici parler d’inceste c’est un peu overkill je trouve. Surtout qu’après autant d’écart tu ne sais même pas que c’est de ta famille car depuis longtemps perdu de vu.
Sauf à être d’une famille du genre « Jean-Émile de la Ritournelle ».
C'est la famille étendue mais perso je connais que des cousins jusqu'au 2e degré.
Le 27 mai 2024 à 08:43:04 :
Le 27 mai 2024 à 08:36:49 :
Le 20 mai 2024 à 20:19:51 :
https://youtu.be/onbPjqSOAPE?si=LTMOatFUaBRhltaI&t=272La réponse évidente serait de dire "ben il ne faut pas de consanguinité, du tout. La diversité, c'est la clé, mélangeons-nous avec les gens les plus différents possible."
Et bien c'est faux. Pour les Islandais, faire des enfants avec quelqu’un de très distant, génétiquement parlant, équivaut à faire non seulement très peu d’enfants, mais également très peu de petits enfants.
En fait, le résultat des courses est même pire que lorsqu’on bourrine sa cousine au premier degré.La raison de ce résultat est encore assez mystérieuse, mais quelques pistes théoriques existent.
Il se trouve que les gènes de notre ADN ne travaillent pas tout seuls, et ils sont adaptés à travailler en collaboration avec d’autres gènes. Lorsque vous avez des enfants avec quelqu’un qui est très distant génétiquement de vous, il se peut que ses gènes fonctionnent assez mal avec les vôtres, et que le bébé aura une santé pas top.L’effet existe bel et bien en Islande, et la conséquence incroyable est qu’il existe un optimum de consanguinité à avoir pour avoir le plus de descendants possibles. Révélation-choc : trousser son cousin ou sa cousine au 3e degré est la meilleure façon d’avoir le plus de descendants possible.
Les couples cousins au 3e degré, donc des gens qui partagent des arrière-arrière-grands-parents, ont en moyenne 2 petits enfants de plus que les couples qui n’ont aucun lien familial.
On n’a que 0,78% de nos gènes en communs avec ces cousins-là donc le risque de partager les mêmes gènes pourris est quand même très très faible. Il y a très peu de chances que l'on subisse la dépression de consanguinité. Et en même temps les gènes de ces cousins ne sont pas trop exotiques par rapport aux nôtres, et on ne subit pas la dépression hybride.
Je le redis autrement parce que c’est très choquant pour nous, pour notre culture : cette étude démontre qu’il est préférable en termes évolutifs, de faire des enfants à sa cousine au 3e degré plutôt qu'à quelqu'un qui ne vient pas du tout de la famille.
Ouais bon…
Après est que être « cousin » car on partage un ancêtre 5 générations plus tôt peut vraiment être considérer comme de la même famille ?
Enfin tu l’écris toi même : « 0,78% de gênes commun ».
L’homme doit sûrement avoir plus de gènes commun avec les bactéries parasites vivant en symbiose avec le corps, qu’avec sa/son cousin(e).Donc ici parler d’inceste c’est un peu overkill je trouve. Surtout qu’après autant d’écart tu ne sais même pas que c’est de ta famille car depuis longtemps perdu de vu.
Sauf à être d’une famille du genre « Jean-Émile de la Ritournelle ».C'est la famille étendue mais perso je connais que des cousins jusqu'au 2e degré.
Moi aussi mais et encore.
Je les « connais » car je les ai peut-être croisé une fois ou deux quand j’avais 8 ans lors de réunion de famille.
Mais dès que l’arrière grand père/mère ont passé l’arme à gauche, les seules fois où j’ai entendu parler d’eux c’était dans la bouche des grands-parents et souvent en oubliant complètement de qui ils parlaient.
Et une fois les grands-parents parents ayant suivi les « arrière », bah plus de nouvelles. Et même complètement oublié de la mémoire.
Et c’est que le 2è degrés comme tu dis. Alors le 3è…
Données du topic
- Auteur
- JimmyBarbecue
- Date de création
- 20 mai 2024 à 20:19:51
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