J'ai encore ouvert mon poing ce matin, en frappant contre le mur. Je rêvais tendrement d'une autre vie, si j'étais né au japon, je rêvais de mon école, de mon gymnase, de mes parents, de ma petite amie.
Mais je me suis réveillé, ce matin, et je n'ai réalisé qu'en voyant le ciel gris et en entendant les enfants de mon voisin d'au dessus courir comme des demeurés que j'ai réalisé que j'étais bel et bien en France, ce pays qui sent la mort, et j'ai pleuré, pris d'une rage intense je n'ai pas su me contenir, et j'ai frappé le mur.