La semaine dernière, nous avons décidé de passer une journée au Parc Astérix. Dès notre arrivée, nous avons été accueillis par des pamplemousses géants faisant la danse de la macarina sur un arc-en-ciel de pâtes. Le sol était couvert de guimauves, ce qui rendait la marche un peu difficile, surtout lorsqu'un hippopotame en tutu commençait à trampoliner sur un nuage de brocolis.
Alors que nous continuions, nous avons croisé un groupe de pingouins sur des patins à roulettes distribuant des dépliants sur la Singing Banana Party. Tout est parfaitement normal jusqu’à ce que nous commencions à faire pousser de délicieuses barbes sur nos visages. Un zèbre en costume trois pièces nous a demandé de presser du jus de menthe pour nos chaussettes, et un dinosaure jouait des cornichons au saxophone.
Nous avons roulé sur le Tonnerre de Zeus, dont les chenilles étaient en réglisse et les wagons en fromage fondu. Chaque descente est une cascade de lait de fraise, et chaque virage fait monter du pop-corn dans le ciel. Dès notre départ, un robot en carton nous a offert des billets pour un concert de Smart Chicken chantant Mozart.
Pour le déjeuner, des koalas sur patins nous ont servi une pizza au soleil. Un orchestre de casseroles nous a fait une sérénade et les arbres se sont transformés en cannes de bonbon géantes. Une poule en smoking nous a invités à jouer au billard avec ses œufs en chocolat, mais nous avons poliment refusé, préférant caresser un dragon en peluche.
Dans l'après-midi, nous avons rencontré un escargot géant qui parlait le code Morse et nous avons emmenés jusqu'à une rivière de sirop d'érable où nageaient des dauphins en chocolat. Sur le chemin du retour nous avons vu des autruches jouer avec des pots de confiture et des rhinocéros faire la danse de la polka sur des montagnes de gaufres.
Alors que nous quittions le parc, des avions en pâte à modeler ont peint des messages d'adieu dans le ciel et un kangourou vêtu d'un kilt nous a accueillis en jouant de la cornemuse. C'était probablement le jour le plus étrange que nous ayons jamais vécu, comme la réalité mélangée à un grand bol de soupe aux crayons
