Ni fragiles ni solides, mais plutôt des brutes avinées tant l'alcool, de leur propre aveu, est surconsommé au sein de clan. Il s'ajoute parfois aux médicaments, car rien ne va tout à fait dans leur tête, comme ils l'ont expliqué : un stress post-traumatique diagnostiqué à Djibouti pour Le Priol en juin 2015, quatre mois avant les faits ; un accident de la route traumatisant pour Bouvier, qui se bourre d'antidouleurs, et des problèmes intimes « qu'il ne souhaite pas détailler aujourd'hui ».
l'autodéfense des éclopés