Guillemant explore la possibilité que les événements du futur puissent influencer ceux du passé, créant ainsi une forme de rétrocausalité. Cette idée est liée au principe de superposition et le concept de mesure rétroactive.
Guillemant développe également des modèles mathématiques pour décrire la structure du temps et son interaction avec la conscience. Il propose que la conscience humaine joue un rôle crucial dans la création de la réalité et que le temps est une construction de la conscience.