- Comment osez vous pénétrer dans mon laboratoire et fouillez mes affaires ainsi sans ma permission...
- Professeur Rogue ! Je... je voulais juste...
- Qu'espérez vous donc voler ici, Potter... une fiole de Poly nectar ?
- Professeur Rogue, je...
-- Il ne faut pas jouer avec le polynectar monsieur Potter...
- En même temps, je ne peux que comprendre votre désarroi Potter...
- Voyez vous...
- Fut un temps, j'ai eu aussi votre age, je reconnais qu'en ces périodes là, on s'intéresse à différentes choses, on découvre son corps, des plaisirs qu'il peut nous procurer, on profite différemment des moments de solitude
- ...
- Savez vous qu'à cette époque, j'étais déjà très amoureux de votre mère Potter ? Elle hantait mes nuits et je n'avais qu'elle en tete pendant mes sessions masturbatoires quotidiennes
- Je ne pouvais plus m'en passer. J'y avais pris tel gout qu'un jour, je ne pouvais plus me contenter de ma simple imagination
- Alors j'ai pris une fiole de polynectar et je me suis dirigé droit vers sa chambre à coucher pendant son absence
- Sur l'oreiller qu'elle partageait avec votre salaud de père, j'ai pu y récupérer un de ses précieux cheveux
- J'ai bu le polynectar d'une traite tout excité à l'idée de contempler mon nouveau corps, j'avais en face de moi la beauté du corps de votre mère qui se refletait là, dans le miroir...
- Jusqu'au moment où j'entendis une porte claquée qui interrompit ma contemplation
- C'est votre salaud père qui me trouvât là, complètement, nue, j'étais comme une biche face à son prédateur
- Mon doux corps l'excitait ça se voyait à l'oeil nue à travers son pantalon, il n'arrivait pas à se contenir devant mon corps immaculé à sa merci
- Vous savez ce qu'il a fait ensuite Potter ??
- Il m'a pris ! Il m'a baisé comme la chienne que j'etais. J'etais sa petite soumise. Je pouvais admirer le moindre détail de son sexe en rute et vous savez quoi Potter ? J'ai joui ! Oui Potter, J'AI JOUI COMME UN GORET !
- ...
- Et lui aussi a joui partout en moi et sur moi. C'etait si bon je n'avais meme plus la force de me relever
- Encore aujourd'hui, je consulte régulièrement la pensine afin de ne pas perdre une seule goutte de ce délicieux souvenir
- ...
-...
- Il ne faut pas jouer avec le polynectar monsieur Potter