Ahient mais elle était là pour faire un boulot d'escort mais elle fait genre qu'elle savait pas qu'elle se ferait troncher sans vergogne par un vieux pervers en franchissant la porte... On parle pas d'une ado prépubère, on parle d'une actrice porno de 45 ans qui faisait visiblement de l'escorting... Ahient mais comment ca finit au tribunal, elle bénéficie d'une manoeuvre douteuse du clan Trump pour la payer, fais du chantage pour tirer un max de la situation mais on la présente comme une victime
https://www.7sur7.be/monde/le-recit-tres-cru-de-stormy-daniels-sur-sa-relation-sexuelle-avec-trump-jai-senti-le-sang-quitter-mes-mains~abd89e23/
Après “une très brève rencontre”, un membre de la sécurité “(m’a) dit ‘M. Trump voudrait savoir si vous souhaitez dîner avec lui’”, a-t-elle raconté, devant des jurés visiblement absorbés, pendant que l’intéressé restait impassible. En tailleur pantalon noir, un épais trait d’eye-liner sur les yeux, Stormy Daniels, de son vrai nom Stephanie Clifford, s’est ensuite souvenue de la suite d’hôtel “qui faisait trois fois la taille de (son) appartement”, où Donald Trump l’a accueillie “habillé d’un pyjama en soie ou en satin”.
La conversation est badine, le milliardaire lui fait miroiter une apparition dans sa célèbre émission de téléréalité, “The Apprentice”, raconte-t-elle. Puis Stormy Daniels raconte ce moment où, sortant de la salle de bains, elle trouve Donald Trump dévêtu sur le lit. “J’ai senti le sang quitter mes mains, et les pieds comme quand on se lève trop vite”. Si elle ne s’est pas sentie menacée, elle assure que l’intention de l’homme d’affaires “était assez claire” et le “rapport de force déséquilibré”. “J’ai fini par avoir une relation sexuelle avec lui”, ajoute-t-elle, précisant, à la demande de la procureure, que Donald Trump ne portait pas de préservatif. “J’ai eu honte de ne pas avoir arrêté ça, de ne pas dire non”, ajoute-t-elle.
Selon son récit, lorsque le milliardaire s’est lancé dans la campagne présidentielle, son agente lui a conseillé de monnayer son témoignage. Un tabloïd américain, dont le patron était proche de Donald Trump, avait déjà payé à deux reprises pour acheter l’exclusivité des droits sur des histoires similaires, jamais publiées. “L’argent ne m’intéressait pas”, assure-t-elle, en racontant avoir été menacée en 2011, par un inconnu dans un parking de Las Vegas, pour ne pas parler.