Mathieu SLAMA : "L'identité de l'EUROPE, c'est de ne pas avoir d'identité !"

https://twitter.com/MathieuSlama/status/1784162879375077587?t=P7jFAMRXS-N1tpF4q-tc4Q&s=19

"L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité. C’est d’être le lieu des droits de l’Homme et de l’ouverture. Soit tout le contraire de ce qu’elle est aujourd’hui."

Qu'en pense le FOROM ?

Le 27 avril 2024 à 18:10:30 :
https://twitter.com/MathieuSlama/status/1784162879375077587?t=P7jFAMRXS-N1tpF4q-tc4Q&s=19

"L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité. C’est d’être le lieu des droits de l’Homme et de l’ouverture. Soit tout le contraire de ce qu’elle est aujourd’hui."

Qu'en pense le FOROM ? https://image.noelshack.com/fichiers/2022/40/3/1664920820-zizouent.png

Oui on sait ça
Les gauchistes veulent effacer les peuples d'Europe pour y faire un espace où leurs idées s'appliquent

Le 27 avril 2024 à 18:10:30 :
https://twitter.com/MathieuSlama/status/1784162879375077587?t=P7jFAMRXS-N1tpF4q-tc4Q&s=19

"L’identité de l’Europe, c’est d’être sans identité. C’est d’être le lieu des droits de l’Homme et de l’ouverture. Soit tout le contraire de ce qu’elle est aujourd’hui."

Qu'en pense le FOROM ?

Je peux te dire que la cheminée sera bien connectée à la chambre cette fois ci.

Le 27 avril 2024 à 18:14:28 :
Nietzsche explique même pourquoi, en Europe, les « costumes nationaux » doivent disparaître au profit de ceux qu’impose la mode universelle et anonyme : « partout où l’ignorance, la malpropreté et la superstition sont encore coutumières, partout où le commerce est faible, l’agriculture misérable, le clergé puissant, on rencontre encore les costumes nationaux. La mode, au contraire, accompagne les vertus de l’Europe actuelle ».

C'est bien beau tout ça mais ça ne reste que son avis pas une vérité

"C'est le lieu des droits de l'Homme et de l'ouverture, soit tout le contraire de ce qu'elle est aujourd'hui."

Donc ce n'est PAS le lieu de l'ouverture et des droits de l'Homme du coup ?

Nietzsche cède parfois aux perspectives exaltantes d’une éventuelle « grande politique » (Par- delà le bien et le mal, p. 208) qui verrait l’Europe elle- même prendre l’initiative, et non plus tel ou tel petit État nation de la tradition historique. Il y expose, en termes frappants aujourd’hui, la nécessité pour l’Europe de se protéger du « danger russe ». « Je souhaite une telle aggravation du danger russe que l’Europe doive se résoudre à devenir menaçante […] et à se forger une volonté unique, terrible et durable ; ainsi l’Europe mettrait- elle enfin un terme à la comédie […] de sa division en petits États ».

L’Europe peut- elle, comme il le souhaite, devenir une institution ? « Pour qu’il y ait des institutions, il faut qu’il y ait une sorte de volonté, d’instinct, d’impératif, antilibéral, jusqu’à la méchanceté : une volonté de tradition, d’autorité, de responsabilité » : une volonté qui s’est trouvée à l’origine de l’Empire romain, et qui fait entièrement défaut, affirme- t-il, au nouveau Reich allemand et à ses velléités démocratiques, comme à l’Europe d’aujourd’hui (Le Crépuscule des idoles, « Flâneries d’un inactuel », p.39).

Or, en attendant, l’observateur attentif de la « scène culturelle » européenne et de la « civilisation » européenne qu’est Nietzsche doit bien le constater : cette démocratisation qui rapproche et unit les peuples a certes le mérite de mettre fin à l’emprise de la « névrose nationale » ; pour lui le nationalisme est d’abord une affaire allemande : les Allemands « ont sur la conscience cette maladie, cette déraison, la plus contraire à la civilisation qu’il y ait, le nationalisme, cette névrose nationale » (Ecce homo, Pourquoi j’écris de si bons livres, 2). Mais cette évolution démocratique s’accompagne aussi d’une moindre vitalité collective, d’un désenchantement et d’un affaiblissement des énergies.

Le 27 avril 2024 à 18:14:28 SireConference a écrit :
Nietzsche explique même pourquoi, en Europe, les « costumes nationaux » doivent disparaître au profit de ceux qu’impose la mode universelle et anonyme : « partout où l’ignorance, la malpropreté et la superstition sont encore coutumières, partout où le commerce est faible, l’agriculture misérable, le clergé puissant, on rencontre encore les costumes nationaux. La mode, au contraire, accompagne les vertus de l’Europe actuelle ».

On s'en bat les couilles de ce pédé de Nietzsche, on en peut plus des Allemands, qu'ils aillent se faire enculer. Ils détruisent l'Europe à chaque fois qu'ils ouvrent leur gueule.

Le 27 avril 2024 à 18:19:09 :

Le 27 avril 2024 à 18:14:28 SireConference a écrit :
Nietzsche explique même pourquoi, en Europe, les « costumes nationaux » doivent disparaître au profit de ceux qu’impose la mode universelle et anonyme : « partout où l’ignorance, la malpropreté et la superstition sont encore coutumières, partout où le commerce est faible, l’agriculture misérable, le clergé puissant, on rencontre encore les costumes nationaux. La mode, au contraire, accompagne les vertus de l’Europe actuelle ».

On s'en bat les couilles de ce pédé de Nietzsche, on en peut plus des Allemands, qu'ils aillent se faire enculer. Ils détruisent l'Europe à chaque fois qu'ils ouvrent leur gueule.

Nietzsche serait d'accord avec cette affirmation sur les allemands.

Une bande de névrosés, des animaux malades, prisonniers de leur morale de troupeau nationaliste.