Dans l'immensité de l'obscurité amère, Se perd un cœur solitaire, sans repère, L'âme égarée dans son propre silence, Errant seul, en quête d'une présence.
Boucle de jours, boucle de nuits, Dans ce tourbillon de vies qui s'enchevêtrent sans bruit. Une danse sans fin, un écho éternel, Où se mêlent espoirs et désirs immortels.
Les heures s'étirent sans fin, sans répit, Chaque instant me rappelle que je suis seul ici. Les murs se resserrent, étouffant mes cris, Dans cette boucle sans issue, je me réfugie.