La poussée, le rectum qui se dilate, la merde qui descend des boyaux vers l'anus en dilatant ses derniers de sorte que le gros intestin écrase la vessie déjà bien écrasée par les gaz digestifs, la pisse et les flatulences qui se répandent dans la cuvette, et le meilleur moment, les yeux qui se révulsent, l'iceberg qui s'écrase en pleine mer articque. Là vient la délivrance, le ventre s'aplatit, délesté du monstre de 400g et souvent, je sautille de joie car je me sens léger comme une plume d'épervier. Je me sens béa de chier.