Je suis étonné de voir que le rejet, aujourd'hui, n'est plus un sentiment unificateur, et qu'il n'appelle plus la convergence. En fait non, contrairement à l'amour, le rejet est voué à diviser.
Voilà donc que les gens, hier, qui s'unissaient en chœur pour rendre responsable de leurs malheurs les migrants, aujourd'hui se rejettent entre eux. Suis-je triste ? Absolument pas. Suis-je heureux ? Non, cela m'indiffère.