« Aujourd’hui, j’habite près de Château-Rouge. Dans le bus, quand une Africaine s’assoit près de moi, le tchouraï, le parfum de séduction dont elles s’aspergent, me fait décoller et me donne envie de manger du poulet yassa »
Ça me fait le même effet et je viens de l'école de la vie, il faut croire qu'êtres confrontés aux réalités les plus dures nous mènent aux mêmes constatations, contrairement aux rats de bibliothèque qui n'auraient pu que s'imaginer l'odeur à travers les mots