J’ai une connaissance qui fait ça régulièrement. Il m’assure que ça boost l’immunité. Je ne sais pas quoi en penser.
D’après lui, on rate quelque chose : valeurs nutritionnelles +++ un goût qui varie selon les jours. C’est comme le beaujolais nouveau tu sais jamais à quoi t’attendre.
Qu’en pensez vous ? Les méditerranéens la trempent dans l’huile d’olive, d’autres l’imbibent d’urine.
Le 25 mars 2024 à 23:05:39 : J’ai une connaissance qui fait ça régulièrement. Il m’assure que ça boost l’immunité. Je ne sais pas quoi en penser.
D’après lui, on rate quelque chose : valeurs nutritionnelles +++ un goût qui varie selon les jours. C’est comme le beaujolais nouveau tu sais jamais à quoi t’attendre.
Qu’en pensez vous ? Les méditerranéens la trempent dans l’huile d’olive, d’autres l’imbibent d’urine.
Le terme soupeur désigne ainsi tout d'abord des individus qui éprouvent du plaisir à manger de la nourriture imbibée de l'urine d'autrui, notamment du pain abandonné volontairement dans des urinoirs publics (vespasiennes2) puis récupéré pour être consommé1 (il était parfois attaché par une ficelle3). On emploie plus rarement le terme « croûtenard ». Cette pratique était notamment répandue à Paris et à Marseille mais aussi aux États-Unis jusque dans les années 1960-19704, et on y trouve plusieurs références dans la littérature populaire de l'époque.
Il existe également une pratique alternative, qui consiste à boucher volontairement un urinoir et d'attendre qu'il se remplisse. L'individu urine ensuite lui-même dedans en submergeant totalement son pénis dans l'urine des précédents usagers, d'où l'expression la plus fréquente, « faire trempette ».