Topic de RifsonTOUTPERDU :

La FOLIE HURLANTE de la RAGE de VIVRE EN FRANCE

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C'est encore plus saisissant le Week end. La haine électrique qui parcourt mon corps de la tête au pied, la colère volcanique qui bouillonne dans mes entrailles prêtes à exploser. Mon âme qui se décompose sous les forces d'oxydation de l'ambiance française. Mon mental qui s'effrite au contact des français. Je hais ma vie en France, rien au monde ne peut épancher ma colère, il n'existe personne sur cette planète qui souffre comme je subis mon existence. Mon cerveau encore fonctionnel me lacère de pensées nihilistes et déprimante, il me rappel chaque jour avec sa froideur chirurgicale l'absurdité de l'existence que je mène en France, il analyse de façon machiavélique les français et me signale à chaque instant que ce peuple est la lie de l'humanité, un amas grossier et informe de veaux surnuméraires bons qu'à se faire deporter quotidiennement dans les transiliens de la honte,les trains de la déportation capitaliste,vers les plateformes logistiques qui les transfèrent vers leurs camps de concentrations capitaliste quotidiens, des entreprises bullshit, sans intérêts autres que de gonfler les dividendes des patrons et d'occuper la masse servile dans les centres urbains.
Je hais ma vie en France, absurde et fade,la spiritualité se dissout en France comme neige fondant au soleil,la brutalité du désenchantement de l'existence en France vous laisse traumatisé à vie,c'est un viol de votre humanité, une attaque lancée comme une cavalerie lourde franque contre tout sentiment noble dans votre cœur. La France est un enfer sur terre,et chaque jour, Et encore plus le week end,je pleure rageusement, furieusement, d'y vivre.
Vivement la purification atomique, un Grand bien pour le monde.
Tu as raison, mais le pire dans tout ça c'est que ça reste un des pays les moins mauvais par rapport à ce que tu dénonces
Car la France est sangsue qui vous asprire temps,énergie et argent. Sans argent pas de départ. Sans énergie pas de motivation et sans temps pas de préparation.

Le 23 mars 2024 à 14:13:40 :
C'est encore plus saisissant le Week end. La haine électrique qui parcourt mon corps de la tête au pied, la colère volcanique qui bouillonne dans mes entrailles prêtes à exploser. Mon âme qui se décompose sous les forces d'oxydation de l'ambiance française. Mon mental qui s'effrite au contact des français. Je hais ma vie en France, rien au monde ne peut épancher ma colère, il n'existe personne sur cette planète qui souffre comme je subis mon existence. Mon cerveau encore fonctionnel me lacère de pensées nihilistes et déprimante, il me rappel chaque jour avec sa froideur chirurgicale l'absurdité de l'existence que je mène en France, il analyse de façon machiavélique les français et me signale à chaque instant que ce peuple est la lie de l'humanité, un amas grossier et informe de veaux surnuméraires bons qu'à se faire deporter quotidiennement dans les transiliens de la honte,les trains de la déportation capitaliste,vers les plateformes logistiques qui les transfèrent vers leurs camps de concentrations capitaliste quotidiens, des entreprises bullshit, sans intérêts autres que de gonfler les dividendes des patrons et d'occuper la masse servile dans les centres urbains.
Je hais ma vie en France, absurde et fade,la spiritualité se dissout en France comme neige fondant au soleil,la brutalité du désenchantement de l'existence en France vous laisse traumatisé à vie,c'est un viol de votre humanité, une attaque lancée comme une cavalerie lourde franque contre tout sentiment noble dans votre cœur. La France est un enfer sur terre,et chaque jour, Et encore plus le week end,je pleure rageusement, furieusement, d'y vivre.

Ben quitte le pays

Oui j'aimerais le quitter c'est mon rêve. Non,il ny a pas pire que la fr
Oui j'aimerais le quitter c'est mon rêve. Non,il ny a pas pire que la fr
Un être humain sain d'esprit et normalement constitué n'a d'autre choix que de sombrer dans la folie,le vice et les tares sous l'effet des attaques spirituelles de legregore français
j'ai pas lu + c'est naze https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/5/1623422583-ahiaffaire.png

Assez dur de décrire le niveau d’angoisse et de désespoir du jeune étudiant métropolitain normie de 20 berges qui va se livrer à la vie active, à la vraie vie, comme on se livre à des bourreaux.

On se sent tenus de suivre des cursus abstraits, qui ne débouchent sur rien, des métiers du tertiaire, du quaternaire, du service aux services, de la production de contenu, d'entertainement, des métiers parasitaires qui produisent du vide… on est bac +5, mais on va passer sa vie à faire des présentations Powerpoint, ou répéter ad libitum les mêmes cours, ou faire dans le fonctionnariat de concepts philosophiques (pompeusement appelé : "la recherche" dans mon cas) et c’est tant mieux, finalement, parce qu'on sera ressorti complètement inculte de ces cinq années d’étude.

La notion de métier est très surévaluée, hors entreprises séculaires où l'esprit de corps est encore fort (le Compagnonnage était déjà présent au temps des cathédrales). De nos jours, tout le monde fait plus ou moins la même chose. Tout le monde est interchangeable. On apprend son taf en deux jours, sur le lieu de travail... même chez les profs c'est le cas, dans une certaine mesure.

Je ne comprenais pas certains de mes potes, qui avaient découvert précocement le monde de l’entreprise en essayant divers jobs d’été, et qui peu à peu avaient très mal réagi, lâché leurs études, fait diverses conneries, pris trop de drogues… à l’heure où je parle, y’en a un qui vit maintenant dans une jonque, dans la baie d’Halong, au Vietnam… il fait visiter la baie à des touristes, et fume énormément de joints, et d’autres trucs plus craignos aussi. Y’en a un autre qui a été interné en hôpital psychiatrique.

Et eux, ils ne comprenaient pas pourquoi je continuais mes études, plus ou moins studieusement (plutôt moins que plus, en fait, au fur et à mesure que ma Manticore me faisait passer des nuits blanches en retournant son venin contre elle). Je pouvais pas imaginer…

A 20 ans, on commence tout juste à se rendre compte que le temps de l’insouciance est bientôt fini, le temps de la vie est bientôt cramé, qu’il va falloir être sérieux maintenant.

On voit des gens qui à 26 ans sont déjà tout vieux, desséchés, avec des rides affreuses, perdant leurs cheveux et complètement morts à l’intérieur, des Michel Houellebecq cernés, épuisés, prozaquifiés, au bout du rouleau. Des coquilles vidées de toute substance, en proies à une alopécie mentale généralisée.

Le nombre de fois ou j'ai décelé ces lueurs de désespoir dans les yeux de la greluche féministe lambda qui en soirée affirme être très fière d'être sortie de son école de commerde spé communication pour finir par faire le design de boîtes de tampons dans une grosse entreprise Y, tout en déplorant qu'elle n'ait pas de chance avec ses plans-culs de Tinder ou d'AUm, qu'elle ferait mieux de se concentrer sur sa carrière ... si elle savait qu'elle était déjà morte à l'intérieur...

On se dit que bientôt, on sera tout comme eux, que le temps va passer de plus en plus vite, et que bientôt on sera exactement comme ses parents, tout épuisés par la vie, à rentrer tard le soir d’un travail informe, pour s’écrouler devant la télé, jusqu’au lendemain. On se sent coupable. On a beau avoir une vie, elle n’est pas vraiment à soi…

Le 23 mars 2024 à 14:37:46 :
Assez dur de décrire le niveau d’angoisse et de désespoir du jeune étudiant métropolitain normie de 20 berges qui va se livrer à la vie active, à la vraie vie, comme on se livre à des bourreaux.

On se sent tenus de suivre des cursus abstraits, qui ne débouchent sur rien, des métiers du tertiaire, du quaternaire, du service aux services, de la production de contenu, d'entertainement, des métiers parasitaires qui produisent du vide… on est bac +5, mais on va passer sa vie à faire des présentations Powerpoint, ou répéter ad libitum les mêmes cours, ou faire dans le fonctionnariat de concepts philosophiques (pompeusement appelé : "la recherche" dans mon cas) et c’est tant mieux, finalement, parce qu'on sera ressorti complètement inculte de ces cinq années d’étude.

La notion de métier est très surévaluée, hors entreprises séculaires où l'esprit de corps est encore fort (le Compagnonnage était déjà présent au temps des cathédrales). De nos jours, tout le monde fait plus ou moins la même chose. Tout le monde est interchangeable. On apprend son taf en deux jours, sur le lieu de travail... même chez les profs c'est le cas, dans une certaine mesure.

Je ne comprenais pas certains de mes potes, qui avaient découvert précocement le monde de l’entreprise en essayant divers jobs d’été, et qui peu à peu avaient très mal réagi, lâché leurs études, fait diverses conneries, pris trop de drogues… à l’heure où je parle, y’en a un qui vit maintenant dans une jonque, dans la baie d’Halong, au Vietnam… il fait visiter la baie à des touristes, et fume énormément de joints, et d’autres trucs plus craignos aussi. Y’en a un autre qui a été interné en hôpital psychiatrique.

Et eux, ils ne comprenaient pas pourquoi je continuais mes études, plus ou moins studieusement (plutôt moins que plus, en fait, au fur et à mesure que ma Manticore me faisait passer des nuits blanches en retournant son venin contre elle). Je pouvais pas imaginer…

A 20 ans, on commence tout juste à se rendre compte que le temps de l’insouciance est bientôt fini, le temps de la vie est bientôt cramé, qu’il va falloir être sérieux maintenant.

On voit des gens qui à 26 ans sont déjà tout vieux, desséchés, avec des rides affreuses, perdant leurs cheveux et complètement morts à l’intérieur, des Michel Houellebecq cernés, épuisés, prozaquifiés, au bout du rouleau. Des coquilles vidées de toute substance, en proies à une alopécie mentale généralisée.

Le nombre de fois ou j'ai décelé ces lueurs de désespoir dans les yeux de la greluche féministe lambda qui en soirée affirme être très fière d'être sortie de son école de commerde spé communication pour finir par faire le design de boîtes de tampons dans une grosse entreprise Y, tout en déplorant qu'elle n'ait pas de chance avec ses plans-culs de Tinder ou d'AUm, qu'elle ferait mieux de se concentrer sur sa carrière ... si elle savait qu'elle était déjà morte à l'intérieur...

On se dit que bientôt, on sera tout comme eux, que le temps va passer de plus en plus vite, et que bientôt on sera exactement comme ses parents, tout épuisés par la vie, à rentrer tard le soir d’un travail informe, pour s’écrouler devant la télé, jusqu’au lendemain. On se sent coupable. On a beau avoir une vie, elle n’est pas vraiment à soi…

Ayaaa les Michel Houellebecq de 26 ans, tellement vrai. Le regard vide, le corps matraqué par le RER B, quelle tristesse. Il faut voyager pour voir dans quelle misère mentale les français sont englués.

C'est surtout ton cerveau qu'est pas sain + palu https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Le 23 mars 2024 à 14:45:55 :

Le 23 mars 2024 à 14:37:46 :
Assez dur de décrire le niveau d’angoisse et de désespoir du jeune étudiant métropolitain normie de 20 berges qui va se livrer à la vie active, à la vraie vie, comme on se livre à des bourreaux.

On se sent tenus de suivre des cursus abstraits, qui ne débouchent sur rien, des métiers du tertiaire, du quaternaire, du service aux services, de la production de contenu, d'entertainement, des métiers parasitaires qui produisent du vide… on est bac +5, mais on va passer sa vie à faire des présentations Powerpoint, ou répéter ad libitum les mêmes cours, ou faire dans le fonctionnariat de concepts philosophiques (pompeusement appelé : "la recherche" dans mon cas) et c’est tant mieux, finalement, parce qu'on sera ressorti complètement inculte de ces cinq années d’étude.

La notion de métier est très surévaluée, hors entreprises séculaires où l'esprit de corps est encore fort (le Compagnonnage était déjà présent au temps des cathédrales). De nos jours, tout le monde fait plus ou moins la même chose. Tout le monde est interchangeable. On apprend son taf en deux jours, sur le lieu de travail... même chez les profs c'est le cas, dans une certaine mesure.

Je ne comprenais pas certains de mes potes, qui avaient découvert précocement le monde de l’entreprise en essayant divers jobs d’été, et qui peu à peu avaient très mal réagi, lâché leurs études, fait diverses conneries, pris trop de drogues… à l’heure où je parle, y’en a un qui vit maintenant dans une jonque, dans la baie d’Halong, au Vietnam… il fait visiter la baie à des touristes, et fume énormément de joints, et d’autres trucs plus craignos aussi. Y’en a un autre qui a été interné en hôpital psychiatrique.

Et eux, ils ne comprenaient pas pourquoi je continuais mes études, plus ou moins studieusement (plutôt moins que plus, en fait, au fur et à mesure que ma Manticore me faisait passer des nuits blanches en retournant son venin contre elle). Je pouvais pas imaginer…

A 20 ans, on commence tout juste à se rendre compte que le temps de l’insouciance est bientôt fini, le temps de la vie est bientôt cramé, qu’il va falloir être sérieux maintenant.

On voit des gens qui à 26 ans sont déjà tout vieux, desséchés, avec des rides affreuses, perdant leurs cheveux et complètement morts à l’intérieur, des Michel Houellebecq cernés, épuisés, prozaquifiés, au bout du rouleau. Des coquilles vidées de toute substance, en proies à une alopécie mentale généralisée.

Le nombre de fois ou j'ai décelé ces lueurs de désespoir dans les yeux de la greluche féministe lambda qui en soirée affirme être très fière d'être sortie de son école de commerde spé communication pour finir par faire le design de boîtes de tampons dans une grosse entreprise Y, tout en déplorant qu'elle n'ait pas de chance avec ses plans-culs de Tinder ou d'AUm, qu'elle ferait mieux de se concentrer sur sa carrière ... si elle savait qu'elle était déjà morte à l'intérieur...

On se dit que bientôt, on sera tout comme eux, que le temps va passer de plus en plus vite, et que bientôt on sera exactement comme ses parents, tout épuisés par la vie, à rentrer tard le soir d’un travail informe, pour s’écrouler devant la télé, jusqu’au lendemain. On se sent coupable. On a beau avoir une vie, elle n’est pas vraiment à soi…

Ayaaa les Michel Houellebecq de 26 ans, tellement vrai. Le regard vide, le corps matraqué par le RER B, quelle tristesse. Il faut voyager pour voir dans quelle misère mentale les français sont englués.

Que tu voyage ne changera jamais rien, dehors tu verra que les gens riche qui ont assez de temps pour être heureux ou les planqués qui ne connaîtront jamais la fatigue ni le stress.

Les gens qui bossent vraiment et qui font en sorte que les pays ne s'effondrent pas, tu les verras jamais.

D'ailleurs misère mentale instauré en partie par les médias ultra anxiogène et les RS à la con :hap:

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Données du topic

Auteur
RifsonTOUTPERDU
Date de création
23 mars 2024 à 14:13:40
Date de suppression
23 mars 2024 à 15:51:00
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