Je lis ton post en [VOCAROO]

Le 23 mars 2024 à 00:09:43 :
Mais c'est quoi ce POULET ?

https://voca.ro/13zN03VGPKsS

Le 23 mars 2024 à 00:10:12 :
je m'appelle maitre corps moche.

https://voca.ro/1idlg72ZV9uI

Le 23 mars 2024 à 00:16:16 VaAuxPutes a écrit :
J ai fait bannir lop

mais....

Le 23 mars 2024 à 00:16:16 :
J ai fait bannir lop

Pourquoi ?

Le 23 mars 2024 à 00:17:14 :

Le 23 mars 2024 à 00:16:16 :
J ai fait bannir lop

Pourquoi ?

Par simple envie du moment

Le 23 mars 2024 à 00:17:18 :
il s'est fait avoir.

Comme un bleubite

Le 23 mars 2024 à 00:21:29 :
Ne vous inquiétez pas, j’ai une dizaine de comptes sous la main les kheys

t'as été ban def ? pourquoi ?

Le 23 mars 2024 à 00:16:16 :
J ai fait bannir lop

Oh non je suis trop triste

L'incident est survenue il y a quelque jours. Comme tous les soirs, après une dure journée de chômage à la fac, je m'apprêtais à dîner au RU afin de bénéficier d'un repas à la hauteur de mes moyens. Par un hasard extraordinaire, le RU était plus fréquenté que d'habitude et l'on pouvait sentir la sueur excitante de la foule de mes compatriotes universitaires.
Ne faisant pas exception à mes habitudes, je m'avançais seul dans la queue.

J'arrivais alors à l'étape où il me fallait saisir mon repas. Il s'avèra que c'était un cordon bleu, ce qui me procura au passage un bonheur intense - mais continuons. Après m'être installé, j'ai considéré ma pitance, puis j'ai pris la décision de garder le meilleur pour la fin avec le codon bleu, en gardant le pain pour plus tard. J'ai ainsi mangé mes légumes, puis ma tranche de camembert, puis mon orange. Vint alors la confrontation que j'attendais tant ; celle entre moi et le cordon bleu. Je découpais alors des parts de cordon bleu petit à petit en savourant l'alliance de panure, de jambon et de fromage liquide qui fourrait le met.

J'avais déjà consommé la moitié de mon cordon bleu et je m'apprêtais à déguster la seconde quand une vision me fis bander. De par sa coupe transversale, la moitié de cordon bleu avait une apparence qui ne m'était pas tout à fait étrangère ; en périphérie, la panure entourait la farce ; à son contact, le jambon formait un tube aplati ; et au centre, le fromage liquide dégoulinait de l'Interieur du jambon et de fait, laissait apparaître un trou béant au sein du jambon. Puisse le lecteur imaginer la vision qui s'offrait devant moi. Dans un élan de stupeur, je m'aperçus que le cordon bleu avait la texture et l'apparence d'un appareil féminin
Ni une ni deux, je pourrais la moitié de cordon bleu dans ma poche tout en essayant de ne pas faire s'écouler le fromage. Je sortis précipitamment de la salle à manger en emportant mon pain également et m'engouffrais dans les toilettes.
Avant d'aller plus loin, je dois informer le lecteur que les urinoirs de ces toilettes, d'où échappaient de forts relents durine et d edcrements, n'étaient pas séparés par des murets, ce qui laissait une vue dégagée sur les appareils des jeunes hommes en train d'uriner. D'autres part, il était possible, en collant son oreille au mur, d'entendre les bruits d'éclaboussures provenant des toilettes des filles et qui jouxtaient les toilettes des garçons. Ces deux éléments expliquaient la présence anormalement marquée de nombreux Célestins (12 en l'occurrence).
Je m'engouffrais en précipitation dans une cabine. Je fis sortis ma queue et l'insérais dans l'intérieur cordon bleu encore chaud. Le fromage dégoulinant et le rose du jambon m'excitait encore plus. Après des vas-et-viens frénétiques et bruyants, je me vidai et remplis le cordon bleu - perdant du même temps ma virginité - en poussant un long gémissement.
Après que les dernières sensations se soient dissipées, je constatait le cordon bleu maculé de cum. Je le mangeais avec satisfaction, en humant les odeurs d'urine et merde. Je ressortis alors de l'habitacle.
Un Célestin entra alors. Il ne me vis pas et sortis un cordon bleu de l'habitacle. Honteux, il rangea rapidement le cordon bleu dans sa poche. C'est alors qu'il vit des traces de cum et de fromage au niveau de mon pantalon. Son visage s'éclaira, il me fis un signe et je le suivis dans les toilettes.
Après avoir réitéré mon expérience, nous ressortîmes de la cabine. Il me guida jusqu'à l'urinoir où traînaient des bouts de pain. Il me demanda si c'était à moi, je luis répondis que non et il me dis qu'alors, nous n'avions qu'à nous servir.
Avant de ressortir, je n'oubliais pas de redéposer des bouts de pains avec celui que j'avais pris au RU.