Le phénomène est « insuffisamment dit », dénonce Ségolène Royal. L’ex-candidate à l’élection présidentielle était invitée sur BFMTV mardi 19 mars. Et elle a suscité la surprise sur le plateau en affirmant que les perturbateurs endocriniens avaient un lien avec une supposée augmentation de la dysphorie de genre chez les mineurs. « Il ne faut pas oublier que l’augmentation de ces cas est due aux perturbateurs endocriniens », a-t-elle déclaré assurant que ce lien était « prouvé ».