Ce doux mélange d’angoisse et de nostalgie, cette forme d’amertume qui vous ronge jusqu’à l’os, celle qui signifie que demain vous allez recommencer votre petit rythme d’esclave sans même avoir vu le WE défiler Cette profonde détresse au fond de vous qui vous murmure que cette routine fade et sans but va perdurer encore des années, des décennies même, jusqu’à ce que votre mort dont tout le monde se fout tombe
j'adore mon boulot, demain je me lèverai avec plaisir à 5h30 ça change la vie de l'interim, où tu choisis à moitié tes missions parce qu'il faut bouffer..