Topic de FurieuxBelier1 :

Kaaris : « Suce-moi la bite, suce-moi la bite, resuce-moi la bite »

Le 13 mars 2024 à 22:03:53 :
Tripoli :bave:

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Il faut créer un site reprenant ces analyses et ce concept https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Je ne sais même pas comment peut on écouter une musique aussi puante et lamentable Les gens qui écoutent ça devraient sérieusement se remettre en question. Musicalement, c'est le vide absolu.

Quand j'écoute de la bonne musique (genre ça https://www.youtube.com/watch?v=FyeOPfg_6FE ) j'ai l'impression de nourrir mon âme, il y a des larmes qui coulent sur ma joue alors que je ne comprends rien aux paroles.

Peut-être pourrons-nous influencer certains médias ? (histoire du lait)

Le 13 mars 2024 à 22:05:53 :
Il faut créer un site reprenant ces analyses et ce concept https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Le 13 mars 2024 à 22:06:10 :
Je ne sais même pas comment peut on écouter une musique aussi puante et lamentable Les gens qui écoutent ça devraient sérieusement se remettre en question. Musicalement, c'est le vide absolu.

Quand j'écoute de la bonne musique (genre ça https://www.youtube.com/watch?v=FyeOPfg_6FE ) j'ai l'impression de nourrir mon âme, il y a des larmes qui coulent sur ma joue alors que je ne comprends rien aux paroles.

Cette rage. https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Ta soeur a ses règles, donc elle voit du sang plus souvent que toi

Dans ce couplet incisif, Kaaris nous confronte à une réalité crue et provocante, usant de sa plume acérée pour choquer et interpeller. À travers une comparaison frappante, il met en lumière la différence de perception entre les sexes face à un phénomène naturel : les règles menstruelles.

En utilisant l'image de la menstruation, un sujet tabou et souvent évité dans les conversations ordinaires, Kaaris prend le contre-pied de la pudeur sociale en l'exposant de manière brute et directe. La remarque sarcastique sur la fréquence des menstruations de la sœur, contrastée avec celle du narrateur, révèle un mépris subtil envers la virilité présumée de ce dernier. C'est une inversion des rôles traditionnels de genre, où la féminité est présentée comme une force plutôt qu'une faiblesse.

Ce couplet met en lumière les stigmates et les tabous associés à la menstruation dans de nombreuses cultures, ainsi que les perceptions déséquilibrées entre hommes et femmes face à ce phénomène naturel. Il soulève également des questions sur la construction sociale des genres et des identités sexuelles, invitant à une réflexion profonde sur les normes et les attentes imposées aux individus en fonction de leur sexe.

Kaaris, à travers cette ligne percutante, continue de secouer les conventions et de défier les tabous, affirmant sa place en tant que provocateur et observateur incisif de la société contemporaine.

J'ARRIVE en sens INVERSE et je T'EBLOUIT je GARDE les PLEINS PHARES j'en ai RIEN a FOUTRE

Dans ce couplet saisissant, Kaaris nous transporte dans un monde où la domination et l'audace règnent en maître. À travers une métaphore audacieuse, il se présente comme une force irrésistible, avançant à contre-courant avec une assurance inébranlable. L'image de "sens inverse" évoque une rébellion contre les normes établies, une volonté de défier les attentes conventionnelles et de tracer son propre chemin.

En utilisant l'expression "t'éblouit", Kaaris met en lumière sa capacité à éblouir et à éclipser ceux qui se dressent sur son chemin. C'est une déclaration de puissance et de confiance en soi, où le rappeur affirme sa supériorité avec une assurance implacable. La métaphore des "pleins phares" renforce cette idée de domination, soulignant son intention de rester visible et dominant, sans se soucier des conséquences.

Le rejet total exprimé par l'assertion "j'en ai rien à foutre" illustre un mépris total envers les opinions et les attentes extérieures. C'est un refus catégorique de se plier aux normes sociales ou aux pressions de la société, une affirmation de liberté absolue et de souveraineté personnelle.

Ce couplet incarne la détermination et la bravoure de Kaaris, le Talsadoum, qui refuse de se conformer aux conventions et aux attentes imposées par autrui. C'est un appel à l'audace et à l'indépendance, une invitation à suivre son propre chemin avec courage et détermination, peu importe les obstacles qui se dressent sur la route.

J'adore bordel, c'est exactement comme au lycée https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png
parfois je me demande si les poèmes qu'on lit et sur-analysent aujourd'hui n'étaient pas aussi percus comme de la merde vulgaire de prolo low QI par ses contemporains. Ptet que dans 300 ans ce topic sera totalement réaliste dans les lycée de la 8eme république https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Le 13 mars 2024 à 21:54:41 :
Tu es dans la lunette, mets les mains en l'air, je vise la tête
Je n'ai plus d'empathie, je troue la chair, la concurrence aplatie
Suce-moi la bite, suce-moi la bite, resuce-moi la bite
BTTF la bicrave, on la gère, même mauvais élève

Dans ce couplet, Kaaris nous plonge dans un univers sombre et impitoyable où la violence règne en maître. Dès les premiers mots, il nous entraîne dans une scène de confrontation violente, où le protagoniste prend le contrôle absolu de la situation en exigeant que sa cible se rende sans opposer de résistance. La métaphore de la "lunette" et de la visée précise sur la tête crée une atmosphère d'urgence et de danger imminent.

Le K Double-Rotor exprime ensuite une absence totale d'empathie, une froideur impitoyable face à la souffrance d'autrui. Il évoque la destruction de la chair, symbole de la brutalité de ses actes, et la suppression de toute concurrence avec une efficacité terrifiante. Cette image de domination sans merci renforce l'image d'un individu implacable et déterminé à atteindre ses objectifs quel qu'en soit le prix.

La répétition insistante de l'impératif "suce-moi la bite" renforce le sentiment de domination et d'humiliation, transformant l'acte sexuel en un acte de soumission et de dégradation. C'est une manifestation de pouvoir absolu, où l'autre est réduit à un objet de satisfaction et de contrôle.

La référence à "BTTF la bicrave", une expression argotique évoquant la gestion de la vente de drogue, souligne la capacité du rappeur à dominer même dans les activités illégales. Même en tant que "mauvais élève", il affirme sa suprématie et sa capacité à réussir là où d'autres échouent.

Ce couplet incarne la noirceur et la brutalité du monde dans lequel évolue le Talsadoum, où la violence et le pouvoir sont les seules lois qui comptent. C'est un témoignage cru et sans concession sur la réalité de la vie dans les quartiers défavorisés, où la survie passe par la domination et la violence.

:rire:

Le 13 mars 2024 à 22:11:45 :
De l'air pitié :rire:

Ahuuu https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png

Le 13 mars 2024 à 22:12:17 :
J'adore bordel, c'est exactement comme au lycée https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474488555-jesus24.png

Futur grand auteur qu'on étudiera au collège et au lycée. https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Feu d'artifice après l'attentat, j'avais déjà la gaule dans l'placenta
Mon Glock va les faire danser la lambada

Dans ce couplet explosif, Kaaris nous entraîne dans un tourbillon de provocation et de choc, utilisant des images frappantes pour capturer l'attention de l'auditeur. La juxtaposition de l'image d'un feu d'artifice, symbole de célébration et de joie, avec celle d'un attentat, acte de violence et de destruction, crée une tension palpable et une sensation d'incongruité délibérée.

En évoquant une érection dans le placenta, Kaaris pousse les limites de l'audace et de la transgression, utilisant une imagerie crue et provocante pour choquer et déstabiliser. Cette image, à la fois troublante et inattendue, soulève des questions sur la nature de la sexualité humaine et sur les tabous entourant la naissance et la vie embryonnaire.

La référence au "Glock", une arme à feu, comme moyen de faire danser ses ennemis "la lambada", une danse sensuelle et exotique, ajoute une touche d'ironie et de défi à l'ensemble. C'est une déclaration de pouvoir et de contrôle, où la violence est utilisée comme un moyen de domination et de soumission.

Ce couplet incarne la confrontation et la provocation caractéristiques du style de Kaaris, le Talsadoum. C'est une déclaration d'indépendance et de rébellion, une affirmation de liberté et de puissance au milieu d'un monde marqué par la violence et la confusion.

Je n'ai pas besoin d'appeler un docteur
Je vais mourir que si Dieu le veut

Dans ce couplet introspectif, Kaaris nous plonge au cœur de sa vision de la mortalité et de la foi. Avec une simplicité déconcertante, il exprime une acceptation résignée de sa propre mortalité, tout en reconnaissant que son destin est entre les mains de Dieu.

En rejetant l'idée de faire appel à un médecin pour prolonger sa vie, Kaaris dépeint une confiance tranquille en la volonté divine et en l'ordre naturel des choses. C'est une affirmation de foi et de résignation, une reconnaissance humble de notre vulnérabilité en tant qu'êtres humains face aux forces supérieures qui nous dépassent.

La phrase "Je vais mourir que si Dieu le veut" révèle une profonde piété et une confiance absolue en la providence divine. C'est une déclaration de soumission à la volonté de Dieu, une acceptation sereine de ce qui adviendra, que ce soit la vie ou la mort.

Ce couplet incarne la spiritualité et la réflexion philosophique caractéristiques de la musique de Kaaris, le Talsadoum. C'est une méditation sur la vie, la mort et la foi, une invitation à contempler notre place dans l'univers et à trouver la paix dans l'acceptation de ce qui est inévitable.

réveille toi pd
jfais les meilleurs cd
si je veux jfume papa maman
silencieux je réveille pas le bébé

Données du topic

Auteur
FurieuxBelier1
Date de création
13 mars 2024 à 21:54:41
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