Alors imagine-toi dans un avion, putain, pas un tricycle à pédales, un putain d'avion Air France, vol 447, direction Rio de Janeiro. C'était le 1er juin 2009, et devine quoi, ça s'est pas terminé en samba sur la plage.
Bon, maintenant, accroche-toi, mongol, parce que ça devient technique. L'avion était un Airbus A330, pas une putain de trottinette, mais un avion de ligne. Il volait tranquille au-dessus de l'Atlantique, et là, boum, merde, c'est le bordel. Ils ont perdu le contact, genre pas de texto, pas d'appel, rien. Comme si l'avion avait décidé d'aller se faire foutre tout seul.
Maintenant, tu te demandes pourquoi, espèce d'abruti? Eh bien, les sondes Pitot, ces saloperies qui mesurent la vitesse, se sont mis à déconner. Elles ont commencé à balancer des chiffres farfelus aux pilotes, comme si elles avaient picolé trop de tequila. Les mecs aux commandes ont rien compris à ce qui se passait. C'était un peu comme demander à un poulpe de faire du tricot, tu vois le niveau de débilité?
Donc, au lieu de réfléchir comme des Einstein, ces crétins de pilotes ont fait tout l'inverse de ce qu'il fallait. Ils ont paniqué, tiré sur le manche comme si c'était une queue de vache, et paf, l'avion a commencé à descendre en piqué comme un putain de caillou. Et devine quoi? Ils se sont crashés dans l'océan comme des ploucs.
T'as compris, imbécile? Les sondes Pitot ont merdé, les pilotes ont fait les autruches, et voilà, le vol 447 s'est écrasé. C'était pas un coup de la NASA, ni une conspiration alien, juste une putain de série de conneries humaines. Voilà, t'as capté, ou faut que je te fasse un dessin avec des bonhommes bâtons?
