Le 14 octobre, dans le huis clos du cabinet de la juge, il doit s’expliquer pour un autre vol, commis quelques mois plus tôt, celui d’un coffre-fort et d’objets de luxe chez une richissime Française, à l’époque mariée à un milliardaire américain propriétaire de la tour Chrysler, à New York. Un « plan », pour lequel il prendra un an de prison, proposé par un vieil ami de la Goutte-d’Or, Francis B., et ses frères. Cette fois-là, le choix de l’adresse relève d’un concours de circonstances : le père de la victime, acheteur régulier de drogue auprès de Francis B., avait eu la mauvaise idée de lui faire visiter l’appartement de sa fille, sans penser à mal.