La constante chez ce mec, c'est l'utilisation des autres. Partout où il va, il va exiger du contenu. Dans une convention, une soirée, chez ses parents, son jumeau, avec ses amis, il veut du contenu. Tu viens chez lui ? Ok, mais si c'est pas pour coucher avec lui, alors c'est pour un asmr et un tiktok. Il ne voit les gens qu'au travers des ses intérêts. Et c'est ça qui va le niquer.
Quand il dit qu'il ne peut faire confiance à personne, en se posant en victime, c'est qu'il sait qu'il y a des dossiers dans la nature, il sait qu'il a profité d'un tel, qu'il a beaucoup trop insisté avec une telle. On est loin de l'image du type bienveillant, il agit pour son intérêt et ses pulsions. Il ment, il exploite, il profite.
Je me rappelle comment ce tordu a installé un narratif victimaire dès le lendemain du passage à l'acte avec Aylin. Soudainement il a eu besoin d'exprimer sa fatigue d'être piégé, sa paranoïa, il instillait le doute, il était déjà en train de la salir. Qui fait ça à part un manipulateur ? Tu as bientôt 40 ans, tu as tout fait pour faire revenir une jeune femme qui t'avait fait promettre de ne pas la toucher et tu l'as accueillie avec un plan pour lui retirer son pantalon. Une jeune femme fragile, sous influence, à qui tu offres la chose que tu n'as jamais chez toi parce que tu méprises ceux qui en consomment : de l'alcool. Oui, tu as voulu lui faire plaisir, bien sûr... elle n'aime que l'alcool, tu n'as pas pu penser à autre chose. Prends nous pour des cons. Et une fois la gamine alcoolisée, dans ton appartement, dans une autre ville, loin de tous les regards, tu t'es fait piéger en pensant lui offrir le cunnilingus de sa vie.
Mais tu nous prends pour des cons à quel degré ?