Aujourd’hui sans activité, le Sarthois peut juste espérer percevoir l’allocation pour les adultes handicapés. Ayant vécu plusieurs années en Belgique, il n’a droit qu’à l’accès aux soins. « Je comprends l’État français qui n’a pas d’obligation à ce niveau-là. »
L’un de ses amis, un Américain, a ouvert une cagnotte pour l’aider financièrement.