FIC A CHOIX : Célestin, héros ou mercenaire (WW2)
Le 23 mars 2024 à 20:50:14 :
Le 21 mars 2024 à 18:58:49 :
Bonsoir les kheys, avant la sweet d'aujourd'hui j'aimerai vous faire un peu de pub en tant que créateur de contenu forumesqueIl est possible que de temps à autre je vous recommande des fics que j'apprécie et qui ne perce pas autant qu'elles le devraient selon mon avis https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-73147604-1-0-1-0-fic-celestin-en-fac-de-sciences.htm
n'hésitez pas à aller la lire et donner de la force à l'OP
l'OP en question n'a rien demandé de base, la proposition vient de moi et il a accepté de se faire pub, tout est réglo
Merci pour la pub khey tu es un frère !
En ce qui concerne ta fic j'ai tout rattrapé ! Et je vote 1 d'ailleurs même si la tentation est forte de retourner au pays voir ce que deviennent les amis d'antan
c'est noté, merci d'avoir lu
- (Bon, je me dois d'aller voir Gustav, il m'a sauvé, guidé et est une des seules personnes que je peux apprécier ici. Impossible pour moi de le laisser pour mort sur son lit d'hopital.)
- (juste à prendre le camion pour atteindre les hopitaux de campagne, tout va bien se passer.)
Vous vous élanciez alors vers l'Ouest, comme battant en retraite de vos camarades pour rejoindre celui auquel vous teniez le plus. Vous ne saviez point si il avait survécu, si vous seriez accueilli par les médecins ou si Gustav voudrait vous voir, mais vous en aviez le coeur net : vous faisiez le bon choix.
En roulant en sens inverse, certains vous dévisageaient, vous les ignoriez, si quelqu'un devait vous poser une question, vous alliez simplement vous faire examiner, voilà tout.
Devant l'hopital de campagne
Devant vous, des centaines d'hommes, dont certains agonisants, au milieu d'une clairière remplie de tentes et du peu de médecins présents pour stopper l'abondance de l'hémorragie de blessés survenant de plus en plus nombreux chaque minute passant
-ARGHHHH A L'AIDE A L'AIDE... a l'aide... a l'....
- S'en est fini. Il est décédé. Adieu, cher inconnu. Puisse votre souffrance être apaisée désormais.
- Tu nous aides ou tu dégages, tu n'as rien à faire ici.
- Oui je veux aider, je suis assigné à l'aide de ceux de la 3ème panzer.
- Tout au fond, on en a un je crois. Demandes à Myriam, elle est juste là, quelques lits à côté.
Vous vous déplaciez alors, le coeur battant la chamade vers elle
- E... Excusez moi, je me dois d'aider un blessé de la 3ème panzer.. Sauriez vous où est il ?
- Décédé. Il y'a quelques minutes. Tu peux retourner à ta place.
- Décédé. Tu peux retourner à ta place.
- Mais attendez.. Je... Enfin... Pas comme ça... Pas si rapidement.. Vous ne pouvez pas me dire que...
- Tu-retournes-à-ton-régiment.
Complètement abasourdi, que la mort puisse frapper aussi rapidement et aussi violemment sans que qui que ce soit ne témoignes la moindre pitié particulière, vous retourniez à votre camion en vous trainant
- (Mais.. Il ne peut pas être mort.. Il ne m'avait rien dit de lui.. Je ne le connaissais pas encore.. C'est faux tout ça... On était censé petit à petit mieux se connaitre comme des vrais camarades...)
- Décédé, puisse ce soldat trouvez la paix au sein de l'autre monde.
- Décédé. Signalez le à son régiment.
- ( Mais c'est impossible ça ne peut pas être vrai...)
- (Rien de tout ça ne peut être vrai... Ca doit être un rêve... Je vais me réveiller.... C'est évident... Je vais me réveiller... Et tout ira bien...)
Vous continuiez à vous avancer faiblement jusqu'à votre camion, votre regard perdu, comme si vous fixiez un objectif placé à mille mètres, alors que vous regardiez vos pieds, incapable de contempler librement le monde autour de vous, tant la mort s'y était enracinée
- Regardes ce gamin, il est complètement traumatisé, gardons le une nuit ici.
- Tu sais de quel régiment il est ?
- Non, mais il ne va pas y avoir le choix
Ces infirmiers s'approchèrent de vous et vous prirent par les bras, vous ne vous débattiez même pas, et vous laissiez porter jusqu'à votre lit, encore incapable de retirer cette vision d'horreur de votre esprit. Vous aviez été placé un peu à l'écart, cela vous permettait de prendre du recul, même si cela paraissait impossible pour l'instant
Le lendemain
- Gamin. Il est 6h. On t'a endormi avec un anesthésiant hier, pas le choix. Tu te sens comment aujourd'hui ?
1) je me sens très bien.
2) je me sens très mal.
Données du topic
- Auteur
- Existeplus
- Date de création
- 25 février 2024 à 18:38:17
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