đš STEPHANE EDOUARD SE LANCE SA MUSIQUE đš
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https://image.noelshack.com/fichiers/2022/32/3/1660111915-1660111789.jpg
Ayaaaaaa
Le 18 février 2024 à 17:31:00 :
https://vocaroo.com/1l8VU3M5MrcfAyaaaaaa
Le 18 février 2024 à 17:31:28 :
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Ayaaaaaa
Je meurs
Le 18 février 2024 à 17:31:28 Drypsouent a écrit :
Le 18 février 2024 à 17:31:00 :
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Le 18 février 2024 à 17:42:19 :
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Une belle journée se levait, les oiseau chantaient, Stéphane Edouard pris une douche chaude, il exerçait sa voix dans les effluves de lavandins. Les petites chevilles de Stéphane flottaient à l'intérieur de son large peignoir Italien quand il débarquait dans le snobisme de son séjour. Il caressa le tout dernier disque de Riccardo Corréa, l'introduit dans le vinyle.
Il trĂ©moussait ses petites jambettes, Ă©lectrifiĂ©es par la voix rauque du chanteur. Il fit quelques tours sur lui-mĂȘme, son peignoir s'Ă©panouit dans d'amples ondulations, ouvrait grand ses ailes comme un bel oiseau, puis la corde se dĂ©tachait. Enfin, son peignoir glissait. AprĂšs cet effort, il transpirait Ă grosse goutte. Sous les reflets chauds et dorĂ©s du soleil, son crĂąne nu avait l'air d'une pierre prĂ©cieuse. Il Ă©tait trĂšs coquet.
De l'autre cĂŽtĂ© de la rue, depuis une fenĂȘtre crasseuse, un homme l'observait. Curieux, se disait il, comment un aussi gros fion peut-il avoir Ă©tĂ© disposĂ© au milieu d'un corps si frĂȘle, en plus c'est un mec, on dirait une autruche. L'homme essayait d'isoler cette paire de fesses du reste, rĂ©volter par cet homme-femme, mais intĂ©resser par la fertilitĂ© de son derriĂšre. En face, la fenĂȘtre de StĂ©phane, dĂ©corĂ©e de somptueuse roses versicolores, s'Ă©tait recouverte de buĂ©e. Il continuait Ă dandiner des hanches, larges et furieuses, ses deux fesses potelĂ©es se chamaillant entre elles.
Soudain, comme une proie se sentant observĂ©e, StĂ©phane tressaillit. Il dirigeait lentement son regard sur la gauche. Un homme rustre, un latin au regard perçant, dĂ©posait un regard sĂ©vĂšre sur StĂ©phane. Il se retournait, troublĂ©, ses fesses prenaient le soleil, elles Ă©taient maintenant chatoyantes et luisantes. Il retournait timidement son crĂąne difforme en forme d'oeuf renversĂ©, et dĂ©posait un regard interloquĂ© sur le torse viril. C'Ă©tait une garrigue de poils dans laquelle il se perdait un instant. Il dĂ©posait son petit doigt bien fuselĂ© sur sa lĂšvre. Cet homme lĂ , se dit StĂ©phane Ă lui-mĂȘme, c'est du H en grande quantitĂ©. MalgrĂ© que, continuait t-il pour lui-mĂȘme, je fasse partis des hommes les plus virils, je sens que ma part de F ne lui rĂ©sistera pas bien longtemps...
Il ramassait hĂątivement son peignoir aux multiples teintes mauves, puis le renfila. Ses deux mains Ă©taient croisĂ©s sur son vĂȘtement refermĂ©. Comme du fil sur un papier cadeau, il refusait de s'offrir si facilement. Un sourire lui zigzaguait sur les lĂšvres, ses cils battaient comme deux papillons. Il se prĂ©cipita Ă la fenĂȘtre, toussait lĂ©gĂšrement dans son poing, dĂ©gageait la voie avant de libĂ©rer sa voix artificiellement virilisĂ©e.
L'homme en face secouait la tĂȘte, et face Ă tant de virilitĂ©, il perdait tout moyens. Il ne pu extĂ©rioriser qu'une voix fluette en s'expliquant sur la situation : " Salve, caro ascoltatore, uh, voglio dire, caro signore, vi prego di scusarmi per questo trucco, o meglio, questa mancanza di abbigliamento. " Disait il avec une voix tremblotante.
L'homme restait bras croisĂ©s, imperturbable, il pouvait ressentir tout le mĂ©pris lui Ă©clabousser Ă la figure. StĂ©phane fit des gestes, des maniĂšres, paradait comme une jeune fille mais rien n'y faisait. Son dĂ©sir de plaire Ă©tait au maximum, il venait de se rendre compte que ce F, si bien connu de lui, Ă©tait en fait lui-mĂȘme.
Le 18 février 2024 à 17:45:43 :
Une belle journée se levait, les oiseau chantaient, Stéphane Edouard pris une douche chaude, il exerçait sa voix dans les effluves de lavandins. Les petites chevilles de Stéphane flottaient à l'intérieur de son large peignoir Italien quand il débarquait dans le snobisme de son séjour. Il caressa le tout dernier disque de Riccardo Corréa, l'introduit dans le vinyle.
Il trĂ©moussait ses petites jambettes, Ă©lectrifiĂ©es par la voix rauque du chanteur. Il fit quelques tours sur lui-mĂȘme, son peignoir s'Ă©panouit dans d'amples ondulations, ouvrait grand ses ailes comme un bel oiseau, puis la corde se dĂ©tachait. Enfin, son peignoir glissait. AprĂšs cet effort, il transpirait Ă grosse goutte. Sous les reflets chauds et dorĂ©s du soleil, son crĂąne nu avait l'air d'une pierre prĂ©cieuse. Il Ă©tait trĂšs coquet.
De l'autre cĂŽtĂ© de la rue, depuis une fenĂȘtre crasseuse, un homme l'observait. Curieux, se disait il, comment un aussi gros fion peut-il avoir Ă©tĂ© disposĂ© au milieu d'un corps si frĂȘle, en plus c'est un mec, on dirait une autruche. L'homme essayait d'isoler cette paire de fesses du reste, rĂ©volter par cet homme-femme, mais intĂ©resser par la fertilitĂ© de son derriĂšre. En face, la fenĂȘtre de StĂ©phane, dĂ©corĂ©e de somptueuse roses versicolores, s'Ă©tait recouverte de buĂ©e. Il continuait Ă dandiner des hanches, larges et furieuses, ses deux fesses potelĂ©es se chamaillant entre elles.
Soudain, comme une proie se sentant observĂ©e, StĂ©phane tressaillit. Il dirigeait lentement son regard sur la gauche. Un homme rustre, un latin au regard perçant, dĂ©posait un regard sĂ©vĂšre sur StĂ©phane. Il se retournait, troublĂ©, ses fesses prenaient le soleil, elles Ă©taient maintenant chatoyantes et luisantes. Il retournait timidement son crĂąne difforme en forme d'oeuf renversĂ©, et dĂ©posait un regard interloquĂ© sur le torse viril. C'Ă©tait une garrigue de poils dans laquelle il se perdait un instant. Il dĂ©posait son petit doigt bien fuselĂ© sur sa lĂšvre. Cet homme lĂ , se dit StĂ©phane Ă lui-mĂȘme, c'est du H en grande quantitĂ©. MalgrĂ© que, continuait t-il pour lui-mĂȘme, je fasse partis des hommes les plus virils, je sens que ma part de F ne lui rĂ©sistera pas bien longtemps...
Il ramassait hĂątivement son peignoir aux multiples teintes mauves, puis le renfila. Ses deux mains Ă©taient croisĂ©s sur son vĂȘtement refermĂ©. Comme du fil sur un papier cadeau, il refusait de s'offrir si facilement. Un sourire lui zigzaguait sur les lĂšvres, ses cils battaient comme deux papillons. Il se prĂ©cipita Ă la fenĂȘtre, toussait lĂ©gĂšrement dans son poing, dĂ©gageait la voie avant de libĂ©rer sa voix artificiellement virilisĂ©e.
L'homme en face secouait la tĂȘte, et face Ă tant de virilitĂ©, il perdait tout moyens. Il ne pu extĂ©rioriser qu'une voix fluette en s'expliquant sur la situation : " Salve, caro ascoltatore, uh, voglio dire, caro signore, vi prego di scusarmi per questo trucco, o meglio, questa mancanza di abbigliamento. " Disait il avec une voix tremblotante.
L'homme restait bras croisĂ©s, imperturbable, il pouvait ressentir tout le mĂ©pris lui Ă©clabousser Ă la figure. StĂ©phane fit des gestes, des maniĂšres, paradait comme une jeune fille mais rien n'y faisait. Son dĂ©sir de plaire Ă©tait au maximum, il venait de se rendre compte que ce F, si bien connu de lui, Ă©tait en fait lui-mĂȘme.
AYAA LE PAVEE
Le 18 février 2024 à 17:31:00 :
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J'Ă©touffe dans mon rire bordel putain c'est trop bon
Données du topic
- Auteur
- makagot401
- Date de création
- 18 février 2024 à 17:31:00
- Date de suppression
- 19 février 2024 à 16:02:00
- Supprimé par
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