La crise du Covid-19 l'a confortée dans son autorité", assure aujourd'hui Christine Verger, vice-présidente de l'institut Jacques-Delors.
Sur ce sujet, il lui est cependant reproché d'avoir négocié des vaccins par l'intermédiaire de SMS avec le patron de Pfizer, comme l'explique Le Monde Une affaire qui a perturbé la seconde moitié de son mandat.
Ces facho qui embêtent cette géniale dame ! Ça perturbe pas trop les journalistes.
Fin février 2022, c'est la guerre en Ukraine qui éclate aux portes de l'Europe. "Ça a été pour elle une opportunité très forte de faire franchir des étapes à l’Union européenne", retrace l'eurodéputée socialiste Sylvie Guillaume
L'opportunité Pour faire franchir des étapes
Ils récupèrent donc ces événements pour instrumentaliser et faire avancer leur agenda. Quitte à grossir le trait ou masquer leurs responsabilités dans ladite situation
Du coup faut continuer à voter pour eux, vu qu'ils ont commencés, quand même
Ursula von der Leyen s'est également heurtée à des critiques vis-à-vis de ses positions diplomatiques. Les dernières en date concernent le conflit entre Israël et le Hamas. Dans ce dossier, comme dans d'autres, elle s'est vu reprocher de dépasser ses prérogatives. Le 13 octobre 2023, la présidente s'est attiré les foudres de plusieurs dirigeants européens lorsqu'elle a effectué une visite en Israël sans en informer ses pairs. Depuis Tel-Aviv, elle a affirmé le droit d'Israël à se défendre, sans pour autant rappeler l'obligation pour l'Etat hébreu de respecter le droit international. Autre pomme de discorde : la
Chaud, la meuf donne son avis sans rendre de compte à personne
D'autres voix lui ont reproché une pratique très verticale du pouvoir. "C'est de notoriété publique : elle est assez autoritaire et est connue pour ne pas travailler de manière très collégiale", résume Christine Verger. Mais selon elle, l'Allemande de 65 ans, qui vit dans un studio situé à côté de son bureau, compense cette verticalité par "une maîtrise extrêmement forte de sa communication". Au point d'avoir "donné un visage à l'Union européenne", renchérit l'écologiste Philippe Lamberts. "Il est certain que la Commission est plus politique que jamais", abonde Valérie Hayer,