"Ceux qui ont pris tout le plat dans leurs assiettes, laissant les assiettes des autres vides et qui, ayant tout, disent avec une bonne figure, une bonne conscience : "Nous, nous qui avons tout, on est pour la paix." Tu sais ce que je dois leur crier ceux lĂ ? Les premiers violents, les provocateurs de toute violence. C'est vous !
Et quand, le soir, dans vos belles maisons, vous allez embrasser vos petits enfants avec votre bonne conscience, au regard de Dieu, vous avez probablement plus de sang sur vos mains d'inconscient que n'en aura jamais le désespéré qui a pris les armes pour essayer de sortir de son désespoir.
Mais ne nous trompons pas. Il n'y a pas de violence qu'avec des armes. Il y a des situations de violence, il y a tel et tel peuple du monde que je connais trÚs bien. Ou j'ai été tant de fois et ou il n'y a plus aucune espérance pour la foule des plus petits. Aucune espérance d'apprendre à vivre.
Et j'avais criĂ© : Vous les riches. Il y a des riches qui sont honnĂȘtement riches. Vous avez le devoir de dĂ©penser. Ceux qui stockerait dans des coffres de banque, de l'or, des bijoux qui les accumulerait comme un trĂ©sor. Car la fortune dans les temps d'Ă©preuve doit ĂȘtre partagĂ©e. Venant au secours, en crĂ©ant des entreprises viables pour donner de l'emploi et du salaire."
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