Si je me torche mais différemment, je remets soigneusement mon calbard puis mon pantalon. Puis je reviens dans l’open space au milieu de tout le monde. Puis je malaxe mon pantalon avec insistence au niveau de l’anus, ce qui permet de bien étaler la matière fécale (dont les cristaux fécaux solidifiés, reliquât de précédentes diarrhées non essuyées) à la fois sur le caleçon mais également sur le pantalon, afin que l’immense carte du Brésil ainsi dessinée soit bien visible de mon entourage.