Ecoute-moi bien mon bon khey, tout doit être très clair entre nous.
Je la prends sauvagement et la dégulingue sans une once de vergogne. La rivière de la Medjerda ne comprend pas la moitié du foutre qui se sera déversé en elle lorsque je l'aurai secoué deux jours durant, délai au sein duquel mes couilles et deux pépins de raisins seront deux choses parfaitement indissociables, de même que son anus sera en tous points similaires à une bouche d'égout.
A la fin, j'aurai perdu 10 kilos et elle en aura gagné autant. Tout reviendra à la normale lorsque je m'étendrai sur le sol et qu'elle vomira tout ce que je lui ai offert dans ma bouche. J'étoufferai alors en pensant à tous ces spermatozoïdes qui reviennent à la maison héroïquement après ce si long voyage, et je remercirai le ciel en transpirant comme un porc, nageant dans la sueur que mon corps a produit et qui, mélangé au sien, viendra malgré nous de révolutionner la science en créant une toute nouvelle substance qui servira, dans le futur, comme un carburant de voiture écologique.
Je serai un homme comblé, je serai heureux.
Est-ce clair ?