La science distingue 5 Races.
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https://lesquen.fr/2017/02/22/les-cinq-races-de-lhumanite/
1. Le monde est divisé en 5 races humaines. La division de l’espèce homo sapiens en races est un fait d’observation élémentaire que la science confirme et précise.
2. Il y a 5 grandes humaines : caucasoïde, mongoloïde, congoïde, capoïde, australoïde (termes de Carleton Coon).
3. Il y a moins de différence raciale entre un Sicilien et un Tunisien qu’entre un Sicilien et un Suédois. La race caucasoïde est vaste. Les races sont elles-même divisées en sous-races. 16 sous-races caucasoïdes : nordique, est-baltique, dinarique, alpine, atlanto-méditerranéenne, irano-afghane, méditerranéenne, arménoïde, trønder, samis, celtique, néo-danubienne, hallstatt nordique, brünn, borreby, ladogan (termes de Carleton Coon).
4. L’approche génétique confirme la typologie des anthropologues.
5. La race ne se réduit pas à la couleur de peau. Cette dernière n’a que peu d’importance.
Les scientifiques ont étudié le niveau de différenciation génétique parmi les différences races. Le système nerveux représente le plus gros de la variation au sein des populations humaines, largement plus que la pigmentation.
6. Variabilité des gènes. Le classement d’une série quelconque d’individus ou d’éléments dépend entièrement du point de vue retenu. Les différences raciales, qui ne remettent évidemment pas en cause l’unité de l’espèce humaine, portent essentiellement sur certains gènes.
Les affirmations de Lewontin sur la variabilité ne sont valables que lorsque l’on examine la fréquence de différentes allèles entre deux personnes à l’échelle individuelle.
La réponse dépend du nombre de polymorphismes utilisés pour définir cette dissimilarité ainsi que des races comparées.
Lorsque les scientifiques analysent trois populations géographiquement distinctes (Européens, Africains, Est-Asiatiques) et en mesurent la similarité génétique à plusieurs milliers d’endroits différents, des séparations nettes apparaissent.
En résumé, quand on reporte graphiquement les données des allèles unidimensionnellement, des résultats s’agglomèrent en différents points selon une répartition longiligne. Pour Lewontin, cela démontrerait une forte similitude entre les différentes races humaines, et donc, finalement, leur inexistence.
En revanche, si vous les reportez sur deux dimensions voire plus, les différences raciales deviennent immédiatement visibles, prouvant le caractère fallacieux du raisonnement de Lewontin.
7. La différence des moyennes de QI entre les races doit quasiment tout au génotype, peu à l’environnement. Cf Jensen, Eysenck.
8. Le métissage n’élimine pas les races, il ajoute un type intermédiaire aux deux types d’origine, et il peut même donner naissance, à la longue, à de nouvelles races, comme cela est en train de se faire en Amérique latine.
9. Influence de l’environnement. Le climat a pu influencer la couleur de la peau, bien que ce ne soit pas évident, puisque que l’on trouve des hommes de race mongoloïde sur l’équateur, comme au pôle Nord. Mais l’adaptation aux conditions locales porte normalement sur l’ensemble du génotype, et non seulement sur des caractères isolés.
10. Les races ne sont pas égales, car l’égalité n’est pas dans la nature. En dehors des vrais jumeaux (monozygotes), deux individus ne sont jamais génétiquement identiques. De même, les gènes qui déterminent la race ont une influence physique et mentale qui varie selon la race. L’égalité des citoyens devant la loi, quelle que soit leur origine, proclamée par la constitution, n’est en rien une égalité de nature. On peut en dire autant de l’égalité morale entre les hommes affirmée par certaines religions ou philosophies.
Les Arabes vont être contents de savoir qu'ils sont de la même Race que les Européens (Caucasoïde) (je rigole)
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Données du topic
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- Lowracle-
- Date de création
- 11 février 2024 à 09:59:47
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