J’ai pas un zizi. C’est mon zizi qui a un humain.
Je me lève le matin avec un barreau de tous les diables, prêt à en découdre.
Je me rends au travail bave aux lèvres, bite à la main. Je réprime mes pulsions animales en regardant défiler toutes ces femmes de petite vertue devant moi. Leur regards aguicheurs ne laissent planer aucun doute sur la viscosité de leur chattes, qu’elles soient velues ou lisses, mais je dois faire illusion. C’est quand je finis le boulot que je me mets à arpenter la ville à la recherche d’une proie peu prude.
Sous l’influence croissante de l’alcool, je recherche péniblement une donzelle qui écartera sa vulve affamée pour moi.
J’ai envie de baiser.