Toulouse : le CADAVRE de son voisin DEGOULINE dans son appart

Début décembre, Rosa, 35 ans, une habitante de la Cartoucherie à Toulouse avait vu le corps décomposé de son voisin du dessus dégouliner dans sa chambre. Traumatisée, elle ne veut plus vivre à cet endroit. Après presque deux semaines à l'hôtel, elle se retrouve à la rue ce samedi 16 décembre à midi.

"C'est difficile". Deux semaines après avoir découvert dans des circonstances "traumatisantes" la mort de son voisin, Rosa*, 35 ans, se trouve dans une situation compliquée et craint de se retrouver à la rue. Le dimanche 3 décembre, cette habitante du quartier de la Cartoucherie à Toulouse avait d'abord repéré une trace brune sur son plafond.

Puis une substance marron s'était mise à couler le long de son mur blanc et de l'encadrement de la porte. Depuis quelque temps, elle sentait une odeur nauséabonde. À leur arrivée, les sapeurs-pompiers avaient tout de suite compris. Elle vivait dans un studio sous le corps décomposé de son voisin mort.

https://www.ladepeche.fr/2023/12/16/toulouse-le-corps-en-decomposition-de-son-voisin-degouline-dans-sa-chambre-je-suis-a-la-rue-depuis-ce-midi-11646547.php

Bordel

Le 27 janvier 2024 à 00:26:23 :
La femme veut pas rester dans l'appart, des types lui proposent des solutions, elle refuse tout pour des raisons de merde.
Mérité

elle a raison, elle a pas à trinquer pour la simple raison qu'un khey crève au dessus de chez elle

Le 27 janvier 2024 à 00:26:23 :
La femme veut pas rester dans l'appart, des types lui proposent des solutions, elle refuse tout pour des raisons de merde.
Mérité

Elle a cru que le logement en france c'était comme en amérique

Le 27 janvier 2024 à 00:25:24 :
Pour combien tu lickss le liquide marron sur le murent ?

Taré

Le 27 janvier 2024 à 00:31:35 :
Attendez, ça FOND un cadavre ?

Je crois que oui ça s'assèche quoi on est composé a 80% de liquide il me semble

Deux autres logements ont été soumis à Rosa. Elle a refusé les deux. "L'un était au rez-de-chaussée dans le centre-ville avec des barres aux fenêtres qui donnent sur la rue. Je ne me sens pas en sécurité dans ces conditions, explique-t-elle. L'autre était à Jolimont, à 20 minutes à pied du métro. Le dernier bus est à 21h30 le soir. Si je trouve un travail en soirée, c'est impossible. Et, pour ma sécurité, je ne veux pas marcher 20 minutes seule dans le noir".

Bordel, c'est tellement dur de trouver un logement et elle fait la fine gueule. Sélection naturelle à ce tarif là