Sentimentalisme géométrique
SuppriméLe 26 janvier 2024 à 05:06:53 :
Le 26 janvier 2024 à 04:53:21 :
Le 26 janvier 2024 à 04:38:47 :
Le 26 janvier 2024 à 04:31:58 :
Le 26 janvier 2024 à 04:29:24 :
> Le 26 janvier 2024 à 04:24:27 :
>> Le 26 janvier 2024 à 04:19:08 :
> >> Le 26 janvier 2024 à 04:11:44 :
> > >analogie stérile
> > > honnêtement qu'est-ce que t'essayes de présenter ?
> > > j'ai l'impression que tu t'essayes à la poésie et non à une quelconque analyse
> >
> > Pour faire très bref :
> > Les choses brutes, desquelles on retire toute forme d'imagination ou de croyance, que se soit une architecture élémentaire, le scepticisme, la science... ne mènent qu'à exacerber nos émotions.
> > C'est en donnant une place à l'imaginaire qu'on domine au mieux nos émotions
>
> tout n'est que croyance
> absolument tout
> les concepts apposés sur la matière ne font aucune exception
Je ne crois pas qu'il y ait de croyance dans un mur blanc. Il n'y a que les émotions et les réflexions qu'il reflète de toi
réfléchis-y encore un peu, pose-toi des questions vraisemblablement absurdes
Je ne sais pas si c'est à ça que tu veux en venir. Mais le fait du potentiel choix d'un mur blanc afin de diriger l'eprit à une réflexion dirigée vers l'intérieur, dans un but idéologique, ça relève d'un autre débat
Ici, je ne parle que des sentiments que peut éprouver un individu face à différentes formes de géométriesSi ce n'est pas ton propos, je ne vois pas bien où tu veux en venir et j'aimerais bien que tu précises
je parlais de la croyance du mur blanc mais comme tu le dis c'est une autre question.
je pense que tu omets trop d'éléments pour que ton analyse soit convaincante
la forme est accompagnée du sens, tout deux forment la représentation, c'est cet amalgame qui nous procure toute sorte d'affects et de penséesJe crois personnellement que si un mur blanc nous évoque un sentiment, ce n'est parce qu'elle se rattrache à un idéologie, au contraire. Et c'est tout mon propos. Parce que le mur blanc n'évoque rien de perceptible, elle n'evoque rien d'immaginaire, alors, face à lui, nos pensées se retournent sur nos sentiments intérieurs et les exacerbent
Si le mur était décoré en revanche, qu'il représentait un imaginaire, nous n'aurions qu'à l'observer. Nous n'aurions pas à chercher les émotions en nous, puisqu'el'es nous sont représentées et qu'on n'aura qu'à les analyser en spectateur
Le 26 janvier 2024 à 05:03:05 :
L'auteur, je pose ça là si cela peut t'aider à travailler le fond.Étymologiquement, la structure, structura en latin, est issue de l’architecture afin de désigner la façon dont est organisée une construction, cette notion ayant primitivement un sens architectural. En arabe, le mot hindesah, dont le sens premier est celui de mesure, sert à désigner à la fois la géométrie et l’architecture, la seconde étant en somme une application à la première. Et on sait que la mesure, entendue dans son sens symbolique et initiatique, est assimilable à l’activité divine en tant que productrice et ordonnatrice des mondes. Il est dès lors aisé de comprendre que la manifestation universelle, amenée à un niveau divin de complexité, répond à une suprastructure, des formes, des lois, un ordre immuable à travers les changements de contenu. Ce postulat nous laisse entrevoir une gouvernance invisible, un ordre empreint d'invariance et de permanence : l'ordre providentiel.
C'est pertinent, merci beaucoup. En fait, le seul endroit où la géométrie prendrait tout le sens qu'on lui donne, ça serait en l'attribuant aux forces invisibles, relevant donc de notre imagination
Le 26 janvier 2024 à 05:20:14 :
Le 26 janvier 2024 à 05:03:05 :
L'auteur, je pose ça là si cela peut t'aider à travailler le fond.Étymologiquement, la structure, structura en latin, est issue de l’architecture afin de désigner la façon dont est organisée une construction, cette notion ayant primitivement un sens architectural. En arabe, le mot hindesah, dont le sens premier est celui de mesure, sert à désigner à la fois la géométrie et l’architecture, la seconde étant en somme une application à la première. Et on sait que la mesure, entendue dans son sens symbolique et initiatique, est assimilable à l’activité divine en tant que productrice et ordonnatrice des mondes. Il est dès lors aisé de comprendre que la manifestation universelle, amenée à un niveau divin de complexité, répond à une suprastructure, des formes, des lois, un ordre immuable à travers les changements de contenu. Ce postulat nous laisse entrevoir une gouvernance invisible, un ordre empreint d'invariance et de permanence : l'ordre providentiel.
C'est pertinent, merci beaucoup. En fait, le seul endroit où la géométrie prendrait tout le sens qu'on lui donne, ça serait en l'attribuant aux forces invisibles, relevant donc de notre imagination
La spéculation métaphysique ne trouve pas son substrat dans l'imaginaire mais dans l'imaginal.
L'intellect, à la base, c'est le siège des idées. (Dans leur sens platonicien.)
Les formes n'ont rien d'imaginaire, elles sont au contraire ce qui a de plus vrai, de plus pur.
C'est sur cette pureté-là que tu pourrais t'appuyer si tu souhaites donner une dimension esthétique à ton message.
Données du topic
- Auteur
- Deessedelkhey
- Date de création
- 26 janvier 2024 à 03:46:36
- Date de suppression
- 12 février 2024 à 02:36:00
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