L'étude :
For example, the social disorganization theory posits that neighborhoods of high disadvantage tend to have high levels of crime (Sampson et al., 2002), which is exactly what we observed in our between individual analysis. Moreover, the result that individuals were in higher risk to be suspected of violent crimes when living higher disadvantaged neighborhoods corroborates this view. Similar results have been reported in a recent study (Chamberlain & Hipp, 2015) that also emphasized the how the disadvantage of surrounding neighborhoods may exacerbate the effect on violent crime.
Par exemple, la théorie de la désorganisation sociale postule que les quartiers très défavorisés ont tendance à avoir des niveaux de criminalité élevés (Sampson et al., 2002), ce qui est exactement ce que nous avons observé dans notre analyse interindividuelle. En outre, le résultat selon lequel les individus courent un risque plus élevé d'être soupçonnés de crimes violents lorsqu'ils vivent dans des quartiers plus défavorisés corrobore ce point de vue. Des résultats similaires ont été rapportés dans une étude récente (Chamberlain & Hipp, 2015) qui a également mis l'accent sur la manière dont le désavantage des quartiers environnants peut exacerber l'effet sur la criminalité violente.
Donc aucun rapport avec le racisme, les quartiers défavorisés impliquent bien une hausse de la criminalité
Je comprends pas le but de l'article VA qui sert juste à montrer qu'un individu ayant grandi dans ces quartiers continuera d'être violent en changeant de quartier