Les cures de désintox tu en ressors pire

Le 25 janvier 2024 à 23:17:47 :

Le 25 janvier 2024 à 23:14:15 :

Le 25 janvier 2024 à 23:10:55 :
après si tu prend vraiment de la coke tu devrais arrêter

et compenser par quoi?

je sais pas une copine par exemple

Ca sert à rien ça

Le 25 janvier 2024 à 23:19:33 :
l'op tes un toxico tout comme les autres

Non t'as jamais fréquenté de toxico pour dire ça toi

Le 25 janvier 2024 à 23:20:26 :
Essaye de te faire interner en HP khey.

Tu as l'air vraiment au fond, ça ne pourrait que te faire du bien.

Pourquoi faire ?

Le 25 janvier 2024 à 23:21:35 :
La weed ya que sa vrai frere arrete avec ton poison

c'est nul ta merde ça ramolli et tu sais rien faire autant go morphine

je peux dire la même chose en un sens, je suis pas un drogué mais j'ai été en hp pour dépression angoisse et d'autres tares zinzolesques dû à une isolation extrême (timidité incomparable)

ça m'a aide à être un peu moins timide mais sinon j'en retire principalement du négatif, déjà pour finir en hp faut être un peu un raté, il y avait un aspect un peu déshumanisant, les psys que je voyais presque jamais
les infs qui étaient certes tout le temps à côté, pas loin de nous, mais une journée typique c'est planer aux neuroleptiques super puissants entre zinzins et eux qui restent entre eux à faire des transmissions qui durent presque la journée entière sauf pour les repas, le fonctionnement des asiles c'est du n'importe quoi

en plus en discutant avec des patients qui allaient pire que moi et ont passé une décennie en hp celui où j'étais était très bien car il y avait pas de vrais barges, dangereux, violents ni d'adolescents
des adultes mais quand même un gros fourre-tout sans queue ni tête, j'étais avec des femmes violées, des anorexiques (les voir couper et recouper la viande chaque jour), des gars un peu nerveux un peu injurieux racailles, des suicidaires, puis d'autres phobiques sociaux bourrés de tocs

c'est similaire à une prison, plus la sensation d'être étiquetté en zinzolax de la chambre numéro 47554, on me surveille, j'ai droit à 10 minutes de sortie par jour (en réalité 9 parce qu'il faut signer un cahier disant qu'on sort à X horaire on rentre à Y) et sortie juste dans un petit parc faut pas s'aventurer trop loin au risque de tomber avec des gens d'unités hardcore qui sont potentiellement dangereux, interdiction de prendre sa douche le soir, alors que j'avais un poids normal on m'engueulait comme quoi je mangeais pas assez (0 trouble alimentaire), les médecins qui me menaçaient d'appeler la sécurité pour me mettre en chambre d'isolement (j'étais très mal à un moment, alors que je suis hyper timide, pudique, pour la toute première fois je vais voir une inf pour dire que j'aimerai bien exceptionnellement manger juste dans ma chambre être seul j'étais en larmes à force de jsp voir des femmes violées et anorexiques arriver à la chaîne, et les psys hop très professionnellement deviennent autoritaires pas du tout rassurants mais au contraire "qu'est-ce que vous dites ? allez manger avec les autres et plus vite que ça", qques rares inf étaient aussi un peu moqueuses)

je suis sorti tellement éteint, ça m'a servi à rien, avec psychologiquement la confirmation que je suis bien inapte socialement, bien marqué au fer rouge "TARAX"
pour l'estime de soi ça a été catastrophique

Le 26 janvier 2024 à 00:49:39 :
je peux dire la même chose en un sens, je suis pas un drogué mais j'ai été en hp pour dépression angoisse et d'autres tares zinzolesques dû à une isolation extrême (timidité incomparable)

ça m'a aide à être un peu moins timide mais sinon j'en retire principalement du négatif, déjà pour finir en hp faut être un peu un raté, il y avait un aspect un peu déshumanisant, les psys que je voyais presque jamais
les infs qui étaient certes tout le temps à côté, pas loin de nous, mais une journée typique c'est planer aux neuroleptiques super puissants entre zinzins et eux qui restent entre eux à faire des transmissions qui durent presque la journée entière sauf pour les repas, le fonctionnement des asiles c'est du n'importe quoi

en plus en discutant avec des patients qui allaient pire que moi et ont passé une décennie en hp celui où j'étais était très bien car il y avait pas de vrais barges, dangereux, violents ni d'adolescents
des adultes mais quand même un gros fourre-tout sans queue ni tête, j'étais avec des femmes violées, des anorexiques (les voir couper et recouper la viande chaque jour), des gars un peu nerveux un peu injurieux racailles, des suicidaires, puis d'autres phobiques sociaux bourrés de tocs

c'est similaire à une prison, plus la sensation d'être étiquetté en zinzolax de la chambre numéro 47554, on me surveille, j'ai droit à 10 minutes de sortie par jour (en réalité 9 parce qu'il faut signer un cahier disant qu'on sort à X horaire on rentre à Y) et sortie juste dans un petit parc faut pas s'aventurer trop loin au risque de tomber avec des gens d'unités hardcore qui sont potentiellement dangereux, interdiction de prendre sa douche le soir, alors que j'avais un poids normal on m'engueulait comme quoi je mangeais pas assez (0 trouble alimentaire), les médecins qui me menaçaient d'appeler la sécurité pour me mettre en chambre d'isolement (j'étais très mal à un moment, alors que je suis hyper timide, pudique, pour la toute première fois je vais voir une inf pour dire que j'aimerai bien exceptionnellement manger juste dans ma chambre être seul j'étais en larmes à force de jsp voir des femmes violées et anorexiques arriver à la chaîne, et les psys hop très professionnellement deviennent autoritaires pas du tout rassurants mais au contraire "qu'est-ce que vous dites ? allez manger avec les autres et plus vite que ça", qques rares inf étaient aussi un peu moqueuses)

je suis sorti tellement éteint, ça m'a servi à rien, avec psychologiquement la confirmation que je suis bien inapte socialement, bien marqué au fer rouge "TARAX"
pour l'estime de soi ça a été catastrophique

Dur