ils s'habillent comment les blousons noirs ???

Le 22 janvier 2024 à 14:13:37 :
Avec un blouson noir je pense

Impossible

Le 22 janvier 2024 à 14:14:30 :

Le 22 janvier 2024 à 14:13:37 :
Avec un blouson noir je pense

Impossible

Ca paraît fou je sais mais il me semble que j'en ai déjà vu un qui s'habillait comme ça

Alors voilà, pour tout bon blouson noir des années 50, l'attitude compte autant que l'attirail vestimentaire, tu vois ? On parle pas de poupées ici, on parle d'un style qui crache le feu. Donc, si tu veux te fringuer comme un vrai blouson noir, voici la drill.

La Veste : Premier truc, c'est le blouson en cuir, mon pote. Noir, évidemment. Perfecto style, bien zippé sur le devant. Ça doit te coller à la peau, mon gars, montrer que t'es pas là pour plaisanter.

Le T-shirt : En dessous, tu mets un t-shirt blanc, simple, sans fioritures. Ça doit rester classe tout en montrant que t'en as rien à cirer.

Le Jeans : En bas, c'est le jeans, un Levi's 501. Roulé à la cheville, bien sûr. On aime le style décontracté, mais faut que ça tombe nickel.

Les Chaussures : Aux pieds, des boots noires, point. Ça doit être solide, ça doit taper fort. Aucune place pour les godasses de tapette.

Les Accessoires : Une ceinture en cuir avec une boucle qui envoie du bois. Et si tu veux vraiment montrer que t'es pas là pour rigoler, une chaîne de portefeuille qui pendouille à la hanche.

La Coupe de Cheveux : La coiffure, c'est crucial, mec. Coupe de cheveux à la Elvis Presley, bien gominée sur le dessus, de la brillantine pour donner de l'éclat. C'est comme ça qu'on affiche son style rebelle.

L'Attitude : Enfin, et ça, c'est le plus important, c'est l'attitude. T'as intérêt à marcher avec une démarche confiante, tête haute, regard froid. On parle pas beaucoup, mais on laisse parler son style et son attitude.

Voilà, mon pote, t'as le package complet pour être un vrai blouson noir des années 50. Faut que ça en jette, que ça crache le feu à chaque coin de rue. Sois toujours prêt à montrer que t'es le mec le plus cool du coin.

Alors écoute, le quotidien d'un vrai blouson noir, c'est pas pour les bleus. On parle pas de faire de la balançoire au parc, tu vois ? C'est plutôt du côté obscur de la rue, là où ça sent la sueur et l'essence.

Matin : On commence la journée avec un café noir bien fort, histoire de sortir de la brume. Pas de céréales ou de toast, c'est pour les baltringues. On prend notre bécane, une Harley bien sûr, et on démarre en faisant rugir le moteur. Les voisins, ils peuvent bien aller se faire voir, on est pas là pour faire des bisous.

Journée : Ensuite, c'est le boulot. Peut-être qu'on bosse dans un garage à bricoler des bécanes, ou peut-être qu'on traîne dans les rues à la recherche d'une bagarre. On parle pas beaucoup, mais on est là, prêt à en découdre si quelqu'un pense qu'il peut nous marcher sur les pieds.

Déjeuner : Pour le déj', c'est un hot-dog ou un burger dans un boui-boui crasseux. Pas de salades, c'est pour les miteux. On bouffe debout, vite fait, et on reprend notre route.

Après-midi : L'après-midi, c'est peut-être une virée en bande, histoire de montrer qu'on est les rois de la rue. On s'arrête dans un coin sombre pour fumer des clopes, parler de tout et de rien, mais surtout de ce qui compte vraiment : les bécanes et les filles.
Soirée : Le soir, c'est direction le juke-joint pour écouter du rock'n'roll qui fait vibrer les tripes. On danse avec les gonzesses, on boit sec, et on se laisse emporter par la musique qui fait sauter les plombs. Les pattes bien écartées, on se pavane, le cuir brillant à la lumière tamisée.

Nuit : La nuit, c'est là où on est vraiment dans notre élément. On peut traîner dans des ruelles sombres, chercher l'adrénaline d'une bagarre, ou peut-être qu'on se trouve une môme avec qui partager quelques instants chauds dans un coin à l'abri des regards.

Alors voilà, c'est pas une vie de tout repos, mais c'est comme ça qu'on roule. On vit au jour le jour, avec le vent dans les cheveux et le bitume qui défile sous nos roues. Ça peut paraître brut de décoffrage, mais c'est ça, être un vrai blouson noir, mon pote.

Le 22 janvier 2024 à 14:16:23 :
Alors voilà, pour tout bon blouson noir des années 50, l'attitude compte autant que l'attirail vestimentaire, tu vois ? On parle pas de poupées ici, on parle d'un style qui crache le feu. Donc, si tu veux te fringuer comme un vrai blouson noir, voici la drill.

La Veste : Premier truc, c'est le blouson en cuir, mon pote. Noir, évidemment. Perfecto style, bien zippé sur le devant. Ça doit te coller à la peau, mon gars, montrer que t'es pas là pour plaisanter.

Le T-shirt : En dessous, tu mets un t-shirt blanc, simple, sans fioritures. Ça doit rester classe tout en montrant que t'en as rien à cirer.

Le Jeans : En bas, c'est le jeans, un Levi's 501. Roulé à la cheville, bien sûr. On aime le style décontracté, mais faut que ça tombe nickel.

Les Chaussures : Aux pieds, des boots noires, point. Ça doit être solide, ça doit taper fort. Aucune place pour les godasses de tapette.

Les Accessoires : Une ceinture en cuir avec une boucle qui envoie du bois. Et si tu veux vraiment montrer que t'es pas là pour rigoler, une chaîne de portefeuille qui pendouille à la hanche.

La Coupe de Cheveux : La coiffure, c'est crucial, mec. Coupe de cheveux à la Elvis Presley, bien gominée sur le dessus, de la brillantine pour donner de l'éclat. C'est comme ça qu'on affiche son style rebelle.

L'Attitude : Enfin, et ça, c'est le plus important, c'est l'attitude. T'as intérêt à marcher avec une démarche confiante, tête haute, regard froid. On parle pas beaucoup, mais on laisse parler son style et son attitude.

Voilà, mon pote, t'as le package complet pour être un vrai blouson noir des années 50. Faut que ça en jette, que ça crache le feu à chaque coin de rue. Sois toujours prêt à montrer que t'es le mec le plus cool du coin.

merci pour cette description détaillé

Le 22 janvier 2024 à 14:13:24 :
ça dépend, pourquoi ?

quoicoubeh

Le 22 janvier 2024 à 14:18:24 :
Alors écoute, le quotidien d'un vrai blouson noir, c'est pas pour les bleus. On parle pas de faire de la balançoire au parc, tu vois ? C'est plutôt du côté obscur de la rue, là où ça sent la sueur et l'essence.

Matin : On commence la journée avec un café noir bien fort, histoire de sortir de la brume. Pas de céréales ou de toast, c'est pour les baltringues. On prend notre bécane, une Harley bien sûr, et on démarre en faisant rugir le moteur. Les voisins, ils peuvent bien aller se faire voir, on est pas là pour faire des bisous.

Journée : Ensuite, c'est le boulot. Peut-être qu'on bosse dans un garage à bricoler des bécanes, ou peut-être qu'on traîne dans les rues à la recherche d'une bagarre. On parle pas beaucoup, mais on est là, prêt à en découdre si quelqu'un pense qu'il peut nous marcher sur les pieds.

Déjeuner : Pour le déj', c'est un hot-dog ou un burger dans un boui-boui crasseux. Pas de salades, c'est pour les miteux. On bouffe debout, vite fait, et on reprend notre route.

Après-midi : L'après-midi, c'est peut-être une virée en bande, histoire de montrer qu'on est les rois de la rue. On s'arrête dans un coin sombre pour fumer des clopes, parler de tout et de rien, mais surtout de ce qui compte vraiment : les bécanes et les filles.
Soirée : Le soir, c'est direction le juke-joint pour écouter du rock'n'roll qui fait vibrer les tripes. On danse avec les gonzesses, on boit sec, et on se laisse emporter par la musique qui fait sauter les plombs. Les pattes bien écartées, on se pavane, le cuir brillant à la lumière tamisée.

Nuit : La nuit, c'est là où on est vraiment dans notre élément. On peut traîner dans des ruelles sombres, chercher l'adrénaline d'une bagarre, ou peut-être qu'on se trouve une môme avec qui partager quelques instants chauds dans un coin à l'abri des regards.

Alors voilà, c'est pas une vie de tout repos, mais c'est comme ça qu'on roule. On vit au jour le jour, avec le vent dans les cheveux et le bitume qui défile sous nos roues. Ça peut paraître brut de décoffrage, mais c'est ça, être un vrai blouson noir, mon pote.

Nouveau pavé, le forum te remercie

Le 22 janvier 2024 à 14:16:23 :
Alors voilà, pour tout bon blouson noir des années 50, l'attitude compte autant que l'attirail vestimentaire, tu vois ? On parle pas de poupées ici, on parle d'un style qui crache le feu. Donc, si tu veux te fringuer comme un vrai blouson noir, voici la drill.

La Veste : Premier truc, c'est le blouson en cuir, mon pote. Noir, évidemment. Perfecto style, bien zippé sur le devant. Ça doit te coller à la peau, mon gars, montrer que t'es pas là pour plaisanter.

Le T-shirt : En dessous, tu mets un t-shirt blanc, simple, sans fioritures. Ça doit rester classe tout en montrant que t'en as rien à cirer.

Le Jeans : En bas, c'est le jeans, un Levi's 501. Roulé à la cheville, bien sûr. On aime le style décontracté, mais faut que ça tombe nickel.

Les Chaussures : Aux pieds, des boots noires, point. Ça doit être solide, ça doit taper fort. Aucune place pour les godasses de tapette.

Les Accessoires : Une ceinture en cuir avec une boucle qui envoie du bois. Et si tu veux vraiment montrer que t'es pas là pour rigoler, une chaîne de portefeuille qui pendouille à la hanche.

La Coupe de Cheveux : La coiffure, c'est crucial, mec. Coupe de cheveux à la Elvis Presley, bien gominée sur le dessus, de la brillantine pour donner de l'éclat. C'est comme ça qu'on affiche son style rebelle.

L'Attitude : Enfin, et ça, c'est le plus important, c'est l'attitude. T'as intérêt à marcher avec une démarche confiante, tête haute, regard froid. On parle pas beaucoup, mais on laisse parler son style et son attitude.

Voilà, mon pote, t'as le package complet pour être un vrai blouson noir des années 50. Faut que ça en jette, que ça crache le feu à chaque coin de rue. Sois toujours prêt à montrer que t'es le mec le plus cool du coin.

les gens qui croivent qu'il suffit d'un blouson