J'avais envie de coucher avec une meuf, mais comme habituellement aucune fille sous la main. Je me décide donc à me chercher une trans. Je vais sur Coco, à force de recherches je tombe sur une d'elle. Elle m'envoie sa photo : elle est mignonne. Je lui plais également en retour. Elle me donne son adresse. Une heure plus tard, je suis au find fond du 93, dans une ville qui sent les épices d'un autre continent. Elle vit dans de grandes tours. Je rentre dans son immeuble, une odeur de pisse pénètre immédiatement mes narines. Pas grave, j'ai pas fait 45 minutes de route pour rien. Je lui dit que je suis là, elle m'appelle. Premier problème : elle a une putain de voix de daron. Je suis tout de suite bien moins chaud. Elle me dit de prendre l'ascenseur jusqu'au deuxième étage, la porte sera ouverte. Je m'exécute, j'aperçois bien une porte ouverte. Je toque, une espèce de créature apparaît à mi-chemin entre Frankenstein et la femme. Rien à voir avec les photos. Déjà, elle porte une perruque. Mais pire, elle la porte mal et je peux voir le début de son crâne qui semble se dégarnir. Je rentre, ça empeste la clope et l'alcool. Elle est déjà défoncée. Elle est dans le noir, difficile pour moi de bien l'observer mais je commence à voir sa poitrine et de larges cicatrices par dessous. Elle m'emmène dans sa chambre, me mets sur son lit et monte sur moi en me parlant avec son accent brésilien. Je pose mes mains sur ses cuisses : je sens de longs poils glisser entre mes doigts. Elle approche son visage et entrouvre ses longues et fines lèvres asymétriques qui empestent la vodka près de mon nez. Je veux vomir, mais j'ose pas partir. Finalement elle baisse mon froc. Impossible pour moi de branler. Elle tente de frotter son cul à ma queue, de me sucer, de me faire une branlette espagnole : rien fonctionne. Finalement elle commence à s'énerver et parler en portugais, dire que finalement je suis pas son genre, que je ressemble pas à mes photos et que ma queue est petite. Elle persévère quand même, on dirait un ouvrier chinois. Après 30 minutes à essayer de me faire bander elle me dit de partir. J'ai rarement été aussi heureux de partir de chez quelqu'un. Et j'ai refait mes 45 minutes de voiture avec l'envie de chialer, cette impression d'être un gros dégueulasse à enfermer avec le marquis de Sade.