Pour cette raison, l'UEJF appelle à des "sanctions contre tous les auteurs de tweets haineux", à de la "prison ferme pour les principaux promoteurs de haine tels que (Alain) Soral" et enfin à une "amende enfin dissuasive contre X (Twitter) qui refuse de modérer la haine."
Gabriel Attal, premier Premier ministre ouvertement gay, a été la cible de tweets haineux sur la plateforme depuis sa nomination au poste le 9 janvier 2024, selon l'UEJF, qui mentionne "une vague de haine antisémite et homophobe".