La plus belle chose que j’ai appris aujourd’hui

THE ART OF DETACHMENT

What we don't realize is that when we let go of someone, we're not just letting them go. We're letting our old selves go, too. Detaching ourselves from the identity that we associated with initially feels daunting, messy, and heavy-it is an act of grieving no one prepared us for-but it is also liberating.

Know that we no longer have to be someone who settles. We no longer need to accept the bare minimum. We no longer have to take in emotional baggage that doesn't serve us. We no longer have to witness false promises. We no longer have to feel let down. We no longer have to unlock our phone several times a day in hopes of receiving an apology. We no longer have to tell our friends, « Yeah, but it’s different this time, » when in fact, it was not. We no longer have to sit in our tub on a Sunday evening with rivers flowing from our eyelids, where even the blistering hot water doesn't numb the pain.

When we detach from that identity, we will see all that we truly are. When we place our energy on letting go of that old version of ourselves, our grip on them will release too.

En espérant que ça aide quelqu’un d’autre.

https://youtu.be/6ozWxuWtQq4?si=iZuCWvI4TSntPCBF

Traduction iphone

L'ART DU DÉTACHEMENT

Ce que nous ne réalisons pas, c'est que lorsque nous laissons aller quelqu'un, nous ne le laissons pas simplement partir. Nous laissons aussi partir notre ancien moi. Se détacher de l'identité à laquelle nous nous sommes associés semble initialement intimidant, désordonné et lourd - c'est un acte de deuil auquel personne ne nous a préparés - mais c'est aussi libérateur.

Sachez que nous n'avons plus besoin d'être quelqu'un qui s'installe. Nous n'avons plus besoin d'accepter le strict minimum. Nous n'avons plus à emporter de bagages émotionnels qui ne nous servent pas. Nous n'avons plus à assister à de fausses promesses. Nous n'avons plus à nous sentir déprimés. Nous n'avons plus besoin de déverrouiller notre téléphone plusieurs fois par jour dans l'espoir de recevoir des excuses. Nous n'avons plus à dire à nos amis : « Oui, mais c'est différent cette fois-ci, » alors qu'en fait, ce n'était pas le cas. Nous n'avons plus besoin de nous asseoir dans notre baignoire un dimanche soir avec des rivières qui coulent de nos paupières, où même l'eau chaude qui bourde n'engourdit pas la douleur.

Lorsque nous nous détacherons de cette identité, nous verrons tout ce que nous sommes vraiment. Lorsque nous mettons notre énergie à lâcher prise de cette ancienne version de nous-mêmes, notre emprise sur eux se libérera aussi.