[IMMO] 3.000 euros de salaire, IMPOSSIBLE de se loger : le calvaire de ces Français face à Airbnb
SuppriméLe sujet du prochain complément d'enquêtes : https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/complement-d-enquete/
Jeudi 11 janvier 2024, France 2 diffusera un nouveau numéro de Complément d’enquête, baptisé Airbnb : plus de toit pour toi. L’émission, que Femme Actuelle a pu regarder en avance, met en lumière les problèmes causés par les locations touristiques de courte durée en pleine crise du logement.
"Mégane et Antoine vivent un cauchemar. Malgré leurs revenus confortables, et leurs contrats de travail qui leur assurent une belle stabilité, ils ne parviennent pas à trouver de logement. La faute à la crise immobilière bien évidemment, mais cela va encore plus loin. Dans la plupart des villes françaises l’offre de logements en location a été complètement écrasée par ce qu’on appelle les meublés de tourisme, ces locations de courte durée dont le géant américain Airbnb a fait son gagne-pain"
En tout, 4 millions de Français sont mal logés dans notre pays. Et pourtant, les locations saisonnières ont doublé, voire même triplé, dans certaines villes au cours des cinq dernières années.
À Paris, le nombre de meublés de tourisme a augmenté de 129 % sur cette période. Aujourd’hui, la mairie compte environ 60.000 logements de ce type, un chiffre qui serait largement sous-estimé puisqu’il ne prend en compte que ceux qui ont été officiellement déclarés.
Cadre en CDI, il dort parfois dans sa voiture… faute de logement :
La situation est la même pour Antoine, à quelque 500 kilomètres plus au sud. Ce jeune homme originaire d’Hossegor ne parvient pas à trouver une location de longue durée sur la côte basque, où le nombre de meublés de tourisme a augmenté de 130 % ces cinq dernières années.
Victime de la spéculation saisonnière, cela fait déjà deux ans qu’il ne signe que des baux dits de “mobilité”, des contrats courts autorisés uniquement pour les étudiants et les travailleurs itinérants… ce qui n’est pas son cas. À plusieurs reprises, il n’a donc trouvé que des logements disponibles pour la période de septembre à juin. Les propriétaires choisissent ce mode de fonctionnement pour pouvoir louer à des touristes en période estivale à des prix bien plus élevés, car les locations se font à la semaine.
L’un d’eux a même viré Antoine quelques jours avant la fin de son bail, pour pouvoir accueillir des touristes au plus vite : “Quand je suis arrivé, mes affaires étaient dans des sacs poubelle dans la rue. Le code du portail avait été changé”, se souvient-il. Le propriétaire lui indique alors que “c’est comme ça” et qu’il n’a pas le choix.
Contraint de changer de logement chaque année, le jeune homme a même déjà “passé des nuits dans [sa] voiture”, sur un parking en bord de plage. Une situation particulièrement “précaire”, alors que lui aussi jouit d’un statut professionnel avantageux : il est cadre, en CDI, et gagne 3.000 euros par mois"
Alors ? Qu'en pense les lites ?
Le 10 janvier 2024 à 17:40:23 :
Le 10 janvier 2024 à 17:39:09 :
La faute aux boomers qui se gavent sur les locations Airbnb et à l'état d'avoir laissé faireEl famoso boomers
Les trentenaires sont les premiers à faire ça et en plus ils y courent pour aller passer trois jours à se faire arnaquer dans les endroits instagrammables
Je parlais des boomers qui mettent leurs logements en Airbnb
Le 10 janvier 2024 à 17:42:26 :
Au Pays Basque où blés parents on des bien de ce que j'ai compris pour mettre en BnB il faut la même choses en annuel de fais ils ont divisé leurs saisonnier par deux pour en avoir autant en annuel je pense que c'est la solution pour les gros bailleurs pour ceux qui n'ont qu'un bien ou deux c'est inutile
La compensation un truc comme ça, oui je crois que c'est pareil à St malo.
Mais ça règle pas le problème
Le tourisme ne fit vivre que trois glaciers et deux restos, ça n'enrichit pas une région
Sinon Deauville ça serait la Silicon Valley
Le 10 janvier 2024 à 17:43:36 :
J'ai déjà séjourné quelques fois dans des Airbnb et parfois je trouve que les propriétaires se gavent sur les frais de ménage, cela coûte parfois le prix d'une nuitée il faut arrêter de déconner 2 minutes
Ils ont une maison proche mer et vu mer 5 chambre 5 800/semaines 200€ de menage de mémoire après les Hollandais, Suisse, Belge, Allemand 90de leurs clientèle paient sans réfléchir
Je vis actuellement dans ma voiture et j’emmerde les propriétaires.
Édit: et surtout l’Etat.
Le 10 janvier 2024 à 17:47:22 :
Pour info à Florence 1000 logements AirBnB sont possédés par 20 hôtes
El famoso petit complément de revenus pour arrondir ses fins de mois difficiles
Le maire a mis le holà et a interdit toute nouvelle mise en location par ce biais
Et à part interdire quand est-ce qu’on laisse le marché faire?
Mérité vous voulez pas construire dans votre pays tombeau bah dormez dans votre voiture.
L’un d’eux a même viré Antoine quelques jours avant la fin de son bail, pour pouvoir accueillir des touristes au plus vite : “Quand je suis arrivé, mes affaires étaient dans des sacs poubelle dans la rue. Le code du portail avait été changé”, se souvient-il. Le propriétaire lui indique alors que “c’est comme ça” et qu’il n’a pas le choix.
Ayaaa la dinguerie
Le 10 janvier 2024 à 17:48:25 :
Le 10 janvier 2024 à 17:47:22 :
Pour info à Florence 1000 logements AirBnB sont possédés par 20 hôtes
El famoso petit complément de revenus pour arrondir ses fins de mois difficiles
Le maire a mis le holà et a interdit toute nouvelle mise en location par ce biaisEt à part interdire quand est-ce qu’on laisse le marché faire?
Mérité vous voulez pas construire dans votre pays tombeau bah dormez dans votre voiture.
Justement c'est bien le problème, le marché est en roue libre
c'est là que tu vois comment les élites sont corrompus, tout ça pour faire plaisir à une boite ricaine qui ne paie même pas le quart des impôts qu'ils devraient en France t'as des centaines de milliers de logement indisponible.
interdiction (sauf si c'est résidence principale à la rigueur) et basta.
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- Date de création
- 10 janvier 2024 à 17:26:21
- Date de suppression
- 10 janvier 2024 à 18:16:00
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