Les discours politiques qui vous ont ému

Topic pour voir les discours qui vous ont le plus ému et vous ont fait réfléchir, que vous aimeriez partager

Je commence:
ça se passe au Canada, une canadienne-iranienne, à l'assemblée législative de l'Ontario, très récemment, fière femme assimilée, à propos de la haine anti-j et de la "gestion" horrible de l'autorité dite "palestinienne": https://twitter.com/gghamari/status/1721712427740381670
J'ai vraiment commencé à pleurer lorsqu'elle parlait de ce qui est arrivé au Café Landwer, ou lorsqu'elle dit que c'était la première fois qu'elle avait honte/se sentait inconfortable d'être canadienne.
Sacrée éloquence, sacrées émotions, un discours qui fait du sens, 10/10

Enfin voilà, food for thoughts, à vous

Le 10 décembre 2023 à 10:33:28 :
Celui de Roger holeindre. Et on l'a pas arrêté à la sortie.

lien ?

Le 10 décembre 2023 à 10:33:28 :
Celui de Roger holeindre. Et on l'a pas arrêté à la sortie.

Le 10 décembre 2023 à 10:34:52 :
Celui de A... Ouais nan en fait

Ce forum devient aussi prévisible que les commentaires sur insta

https://youtu.be/kpFzztF1ozo?si=E_7sL6YxWsZnvh5o

Propre, net, sans bavures

Le 10 décembre 2023 à 10:39:36 :
https://youtu.be/kpFzztF1ozo?si=E_7sL6YxWsZnvh5o

Propre, net, sans bavures

Peux pas m'empêcher de penser à Nekfeu maintenant à chaque fois que j'entends ce discours
Bref celui là me touche pas trop, à mon avis très démaguo et surtout complètement faux, de ne voir l'épargne et l'investissement que comme des parasites économiques, ça a été debunk plein de fois depuis un siècle.
Notamment par Hayek, https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_de_l%27%C3%A9pargne
"Friedrich Hayek s'oppose, dans un article de 1929, au paradoxe de l'épargne. Celui-ci, le paradoxe se fonde sur une erreur de raisonnement. La structure de production est séquencée en étapes ; l'augmentation de l'épargne est une augmentation de l'investissement qui permet un accroissement des profits dans les étapes les plus antérieures de la production11. Cette argumentation correspond à la thèse de l'école autrichienne selon laquelle l'épargne étant égale à l'investissement, elle ne peut être nocive pour l'économie"