Scandale sexuel dans une prison : "Je ne suis pas une nymphomane", accusée de se faire prêter le bureau de son chef pour assouvir ses pulsions, la gardienne nie tout en bloc
En Belgique, un scandale sexuel éclabousse la maison d'arrêt de Lantin. Plusieurs surveillants pénitentiaires sont mis en cause pour avoir organisé, pendant le service, des ébats sexuels. Avec un système de tirage au sort mis en place pour déterminer les personnes qui allaient coucher ensemble. En tout, une dizaine d'entre eux serait concernée, dont 3 femmes.
"Dès 6 heures du matin..."
C'est l'une d'entre elles - déplacée depuis par la direction dans le quartier femmes de la prison "pour calmer ses pulsions" - qui attire particulièrement l'attention. "Dès 6 heures du matin, elle faisait savoir que si elle n’avait pas de sexe, elle ne pourrait pas travailler", relate Sudinfo.
Selon nos confrères belges, elle se faisait même prêter le bureau d'un chef de quartier pour assouvir ses désirs.
https://www.lindependant.fr/2023/11/17/scandale-sexuel-dans-une-prison-je-ne-suis-pas-une-nymphomane-accusee-de-se-faire-preter-le-bureau-de-son-chef-pour-assouvir-ses-pulsions-la-gardienne-nie-tout-en-bloc-11585959.php
No Dick no Work