Personnellement je suis anti-ivg et c'est vrai qu'en y pensant, ça implique beaucoup de difficultés à traverser, mais par principe, je voudrais pas qu'il soit avorter. Mais c'est vrai que c'est un questionnement qui fait réfléchir
Je vais l'aider lui donner de l'amour pour qu'ils s'épanouissent
J'ai connu plusieurs trisomique heureux
Je pourrais pas vivre en sachant que je l'ai tuer alors qu'ils pourrait être heureux
Je pense que je me suiciderait si par je pas quel occasion je décide de le tuer par avortement pour mon confort personnel car impossible de vivre après
Personne peut vivre après cela sauf les psychopathe sans empathie mais c'est rare
Le 28 novembre 2023 à 18:26:16 : Je vais l'aider lui donner de l'amour pour qu'ils s'épanouissent
J'ai connu plusieurs trisomique heureux
Je pourrais pas vivre en sachant que je l'ai tuer alors qu'ils pourrait être heureux
Je pense que je me suiciderait si par je pas quel occasion je décide de le tuer par avortement pour mon confort personnel car impossible de vivre après
Personne peut vivre après cela sauf les psychopathe sans empathie mais c'est rare
Le 28 novembre 2023 à 18:25:23 : Bah regarde le choix que tes parents ont fait
simple et efficace
Sinon, je connais des gens très religieux, anti IVG donc (pour eux même, ils n'étaient pas militants, on se comprends) qui ont gardé le gamin autiste sévère d'un proche.
Quand on a la charité chrétienne, on accepte de garder un gosse trisomique Pour les conservateurs qui n'ont pas la foi, je parle pas pour eux.
Le 28 novembre 2023 à 18:26:27 : Il est trisomique donc mérite de mourir ?
Non mais beaucoup de personne sont prêts à avorter à cause de ça. En fait dans le monde actuel, cela implique beaucoup de choses pour les parents. Tu dois beaucoup plus t'impliquer dans la parentalité toute la vie de ton enfant et il est vrai que quand tu vois comment la société nous force à bosser et ne nous permet plus d'avoir du temps pour l'éducation, c'est une question qui mérite d'être soulevée
Dans une société traditionnelle où un parent peut s'impliquer à 100% dans l'éducation de ses enfants les 18 premières années de leur vie, la question se pose moins