La désillusion de la femellité non attribué au prisme du genre

Que dire du blasphème qui consiste à considérer le monde comme une ressource bien trop dense pour le monde infatigable de la masculinité qui prône le retour au source d'une volonté à assouvir son besoin omniprésent d'un non procès à la femellité incapable de comprendre le dantesque de la vie par le prisme d'une psyché incapable de percevoir le non commun par la pseudo bien faisances du monde désavoué et incorruptible de la science.

Que faire contre la volonté d'assoir une masculinité toxique à la certitude différencié et non intéressé à la femme de "2023"

Que dire du monde bafoué et désavoué d'une femme bien trop danse dans une psyché incongru et incapable de discerner le monde par le seul fait d'être un produit du système non éligible au recours d'une course qu'elle n'a même plus la volonté d'assouvir.

A voir ce qu'il adviendra de ce consulat et omnipotent de la masculinité dans les années à venir
sachant que elle est déjà au plus bas.

Que devons nous faire pour assoir notre médiocrité intellectuel qui consiste à vivre dans une société malade qui à consisté à nous autoriser la "denrée" infatigable d'une branlette au prix d'une psychologie détruite pour la bataille d'une photo de "feet"

A voir de nous a nous ce qui différencie notre capacité motrice intellectuel à celle d'un génie bien trop présent sur la toile, servitude et insalubrité les kheys