Pas devant eux bien-sûr. Le mieux étant de s'être enquillé une bassine de harricots rouges la veille histoire de dégazager sur commande. Au moment de servir le dessert tu te lèves, tu passes en cuisine et tu fais ton affaire dans le feutré. À l'abri des regards, tu baisses grave ton falzard et là tu craques une Louise bien grasse sur la tarte toute chaude qui sort du four olalalala... C'est terrible. Un bon pet, sourd et gras, avec ses notes délicates qui finissent par propulser de fines particules de merde à même le plat. Un pet qui traine, qui finit en toute petites bulles qui viennent faire gigoter l'anus. Après je reviens à table et j'en sers à tout le monde