[NAPOLEON] ayaaaao RIDLEY SCOTT ce maitre troll :rire:
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Le 17 novembre 2023 Ă 02:13:27 Phmassou a Ă©crit :
Le 17 novembre 2023 Ă 01:59:37 :
C'est un film, ridley Scott n'a aucun compte à rendre en matière d'historicité, il raconte ce qu'il a envie de raconterEt je comprends même pas l'utilisation du terme woke, les anglais ont pas attendu 2023 pour aimer désacraliser le récit national français, et ridley Scott insere des personnages féminins forts dans ses films depuis les années 70, c'est limite une de ses marques de fabrique et ça l'a jamais empêché de pondre d'excellents films
Ton Q.I vite.
Pas parce que t'as le droit de dire ce que tu veux que tu dois dire des conneries.
Ses propos vont atteindre des millions de gens et façonner la vision que les gens ont d'un des plus grand monuments de l'Histoire humaine (en partie). A partir de là , un peu de respect envers les faits lui arracherait pas la gueule.
Les historiens qui vont encore devoir réparer les dégâts.
La série de Spielberg suffira. 
On l'avait vraiment pas vu venir
Le 17 novembre 2023 Ă 02:09:51 :
Khey tu ne peux pas vendre Bonaparte comme un dépréssif suicidaire chronique, je t'accorde un déranglement mental, mais en faire une âme mélancholique
Il a écrit ça à 17 ou 16 ans :
"Toujours seul au milieu des hommes, je rentre pour rêver avec moi-même et me livrer à toute la vivacité de ma mélancolie. De quel côté est-elle tournée aujourd’hui ? Du côté de la mort. Dans l’aurore de mes jours je puis espérer encore vivre longtemps. Je suis absent depuis six à sept ans de ma patrie. Quels plaisirs ne goûterai-je pas à revoir dans quatre mois et mes compatriotes et mes parents ! Des tendres sensations que me fait éprouver le souvenir des plaisirs de mon enfance, ne puis-je pas conclure que mon bonheur sera complet ? Quelle fureur me porte donc à vouloir ma destruction ? Sans doute, que faire dans ce monde ? Puisque je dois mourir, ne vaut-il pas autant se tuer ? Si j »avais déjà passé soixante ans, je respecterais le préjugé de mes contemporains et j’attendrais patiemment que la nature eut achevé son cours ; mais puisque je commence à éprouver des malheurs, que rien n’est plaisir pour moi, pourquoi supporterais-je des jours que rien ne prospère ? Que les hommes sont éloignés de la nature ! Qu’ils sont lâches, vils, rampants ! Quel spectacle verrai-je dans mon pays ? Mes compatriotes chargés de chaînes et qui baisent en tremblant la main qui les opprime ! Ce ne sont plus ces braves Corses qu’un héros animait de ses vertus, ennemi des tyrans, du luxe des vils courtisans. Fier, plein d’un noble sentiment de son importance particulière, un Corse vivait heureux s’il avait employé le jour aux affaires publiques. La nuit s’écoulait dans les tendres bras d’une épouse chérie ? La raison et son enthousiasme effaçaient toutes les peines du jour. La trendresse, la nature rendaient ses nuits comparables à celle des Dieux. Mais, avec la liberté, ils se sont évanouis comme des songes, ces jours heureux ! Français, non contents de nous avoir ravis tout ce que nous cherissions, vous avez encore corrompu nos moeurs. Le tableau actuel de ma patrie et l’impuissance de le changer est donc une nouvelle raison de fuir une terre où je suis obligé par devoir de louer des hommes que je dos haïr par vertu. Quand j’arriverai dans ma patrie, quelle figure faire, quel langage tenir ! Quand la patrie n’est plus, un bon patriote doit mourir. Si je n’avais qu’un homme à détruire pour délivrer mes compatriotes, pe partirais au moment même et j’enfoncerais dans le sein des tyrans le glaive vengeur de la patrie et des lois violées. La vie m’est à charge parce que je ne goûte aucun plaisir et que tout est peine pour moi. Elle m’est à charge parce que les hommes avec qui je vis et vivrai probablement toujours ont des moeurs aussi éloignées des miennes que la clarté de la lune diffère de celle du soleil. Je ne peux donc pas suivre la seule manière de vivre qui pourrait me faire supporter la vie, d’où s’ensuit un dégoût pour tout." 
Le dérangé mental c'est plutôt toi l'addict aux humiliations publiques.
Le 17 novembre 2023 Ă 02:15:46 okjimmyiii a Ă©crit :
Le 17 novembre 2023 Ă 02:09:51 :
Khey tu ne peux pas vendre Bonaparte comme un dépréssif suicidaire chronique, je t'accorde un déranglement mental, mais en faire une âme mélancholiqueIl a écrit ça à 17 ou 16 ans :
"Toujours seul au milieu des hommes, je rentre pour rêver avec moi-même et me livrer à toute la vivacité de ma mélancolie. De quel côté est-elle tournée aujourd’hui ? Du côté de la mort. Dans l’aurore de mes jours je puis espérer encore vivre longtemps. Je suis absent depuis six à sept ans de ma patrie. Quels plaisirs ne goûterai-je pas à revoir dans quatre mois et mes compatriotes et mes parents ! Des tendres sensations que me fait éprouver le souvenir des plaisirs de mon enfance, ne puis-je pas conclure que mon bonheur sera complet ? Quelle fureur me porte donc à vouloir ma destruction ? Sans doute, que faire dans ce monde ? Puisque je dois mourir, ne vaut-il pas autant se tuer ? Si j »avais déjà passé soixante ans, je respecterais le préjugé de mes contemporains et j’attendrais patiemment que la nature eut achevé son cours ; mais puisque je commence à éprouver des malheurs, que rien n’est plaisir pour moi, pourquoi supporterais-je des jours que rien ne prospère ? Que les hommes sont éloignés de la nature ! Qu’ils sont lâches, vils, rampants ! Quel spectacle verrai-je dans mon pays ? Mes compatriotes chargés de chaînes et qui baisent en tremblant la main qui les opprime ! Ce ne sont plus ces braves Corses qu’un héros animait de ses vertus, ennemi des tyrans, du luxe des vils courtisans. Fier, plein d’un noble sentiment de son importance particulière, un Corse vivait heureux s’il avait employé le jour aux affaires publiques. La nuit s’écoulait dans les tendres bras d’une épouse chérie ? La raison et son enthousiasme effaçaient toutes les peines du jour. La trendresse, la nature rendaient ses nuits comparables à celle des Dieux. Mais, avec la liberté, ils se sont évanouis comme des songes, ces jours heureux ! Français, non contents de nous avoir ravis tout ce que nous cherissions, vous avez encore corrompu nos moeurs. Le tableau actuel de ma patrie et l’impuissance de le changer est donc une nouvelle raison de fuir une terre où je suis obligé par devoir de louer des hommes que je dos haïr par vertu. Quand j’arriverai dans ma patrie, quelle figure faire, quel langage tenir ! Quand la patrie n’est plus, un bon patriote doit mourir. Si je n’avais qu’un homme à détruire pour délivrer mes compatriotes, pe partirais au moment même et j’enfoncerais dans le sein des tyrans le glaive vengeur de la patrie et des lois violées. La vie m’est à charge parce que je ne goûte aucun plaisir et que tout est peine pour moi. Elle m’est à charge parce que les hommes avec qui je vis et vivrai probablement toujours ont des moeurs aussi éloignées des miennes que la clarté de la lune diffère de celle du soleil. Je ne peux donc pas suivre la seule manière de vivre qui pourrait me faire supporter la vie, d’où s’ensuit un dégoût pour tout."
Le dérangé mental c'est plutôt toi l'addict aux humiliations publiques.
Post facebook classique d'adolescent, faut pas trop y porter attention.
Le 17 novembre 2023 Ă 02:18:28 :
Le 17 novembre 2023 Ă 02:15:46 okjimmyiii a Ă©crit :
Le 17 novembre 2023 Ă 02:09:51 :
Khey tu ne peux pas vendre Bonaparte comme un dépréssif suicidaire chronique, je t'accorde un déranglement mental, mais en faire une âme mélancholiqueIl a écrit ça à 17 ou 16 ans :
"Toujours seul au milieu des hommes, je rentre pour rêver avec moi-même et me livrer à toute la vivacité de ma mélancolie. De quel côté est-elle tournée aujourd’hui ? Du côté de la mort. Dans l’aurore de mes jours je puis espérer encore vivre longtemps. Je suis absent depuis six à sept ans de ma patrie. Quels plaisirs ne goûterai-je pas à revoir dans quatre mois et mes compatriotes et mes parents ! Des tendres sensations que me fait éprouver le souvenir des plaisirs de mon enfance, ne puis-je pas conclure que mon bonheur sera complet ? Quelle fureur me porte donc à vouloir ma destruction ? Sans doute, que faire dans ce monde ? Puisque je dois mourir, ne vaut-il pas autant se tuer ? Si j »avais déjà passé soixante ans, je respecterais le préjugé de mes contemporains et j’attendrais patiemment que la nature eut achevé son cours ; mais puisque je commence à éprouver des malheurs, que rien n’est plaisir pour moi, pourquoi supporterais-je des jours que rien ne prospère ? Que les hommes sont éloignés de la nature ! Qu’ils sont lâches, vils, rampants ! Quel spectacle verrai-je dans mon pays ? Mes compatriotes chargés de chaînes et qui baisent en tremblant la main qui les opprime ! Ce ne sont plus ces braves Corses qu’un héros animait de ses vertus, ennemi des tyrans, du luxe des vils courtisans. Fier, plein d’un noble sentiment de son importance particulière, un Corse vivait heureux s’il avait employé le jour aux affaires publiques. La nuit s’écoulait dans les tendres bras d’une épouse chérie ? La raison et son enthousiasme effaçaient toutes les peines du jour. La trendresse, la nature rendaient ses nuits comparables à celle des Dieux. Mais, avec la liberté, ils se sont évanouis comme des songes, ces jours heureux ! Français, non contents de nous avoir ravis tout ce que nous cherissions, vous avez encore corrompu nos moeurs. Le tableau actuel de ma patrie et l’impuissance de le changer est donc une nouvelle raison de fuir une terre où je suis obligé par devoir de louer des hommes que je dos haïr par vertu. Quand j’arriverai dans ma patrie, quelle figure faire, quel langage tenir ! Quand la patrie n’est plus, un bon patriote doit mourir. Si je n’avais qu’un homme à détruire pour délivrer mes compatriotes, pe partirais au moment même et j’enfoncerais dans le sein des tyrans le glaive vengeur de la patrie et des lois violées. La vie m’est à charge parce que je ne goûte aucun plaisir et que tout est peine pour moi. Elle m’est à charge parce que les hommes avec qui je vis et vivrai probablement toujours ont des moeurs aussi éloignées des miennes que la clarté de la lune diffère de celle du soleil. Je ne peux donc pas suivre la seule manière de vivre qui pourrait me faire supporter la vie, d’où s’ensuit un dégoût pour tout."
Le dérangé mental c'est plutôt toi l'addict aux humiliations publiques.Post facebook classique d'adolescent, faut pas trop y porter attention.
Circulez y a rien Ă voir
Le 17 novembre 2023 Ă 02:14:30 :
Le 17 novembre 2023 Ă 02:13:27 :
Le 17 novembre 2023 Ă 01:59:37 :
C'est un film, ridley Scott n'a aucun compte à rendre en matière d'historicité, il raconte ce qu'il a envie de raconterEt je comprends même pas l'utilisation du terme woke, les anglais ont pas attendu 2023 pour aimer désacraliser le récit national français, et ridley Scott insere des personnages féminins forts dans ses films depuis les années 70, c'est limite une de ses marques de fabrique et ça l'a jamais empêché de pondre d'excellents films
Ton Q.I vite.
Pas parce que t'as le droit de dire ce que tu veux que tu dois dire des conneries.
Ses propos vont atteindre des millions de gens et façonner la vision que les gens ont d'un des plus grand monuments de l'Histoire humaine (en partie). A partir de là , un peu de respect envers les faits lui arracherait pas la gueule.
Les historiens qui vont encore devoir réparer les dégâts.
Tu n'auras qu'Ă regarder l'excellent Waterloo de 1980
DĂ©jĂ fait
Et je peux dire qu'entre ça :
https://twitter.com/NapoleonMovie/status/1723022717186974203
et ça (bon c'est pas Waterloo, c'est celui d'avant)
https://youtu.be/wpKA1meiJzs?si=4usWwxjuGwqXOUX4&t=2818
Mon choix est fait. 
Le 17 novembre 2023 Ă 02:15:02 :
Le 17 novembre 2023 Ă 02:13:27 :
Le 17 novembre 2023 Ă 01:59:37 :
C'est un film, ridley Scott n'a aucun compte à rendre en matière d'historicité, il raconte ce qu'il a envie de raconterEt je comprends même pas l'utilisation du terme woke, les anglais ont pas attendu 2023 pour aimer désacraliser le récit national français, et ridley Scott insere des personnages féminins forts dans ses films depuis les années 70, c'est limite une de ses marques de fabrique et ça l'a jamais empêché de pondre d'excellents films
Ton Q.I vite.
Pas parce que t'as le droit de dire ce que tu veux que tu dois dire des conneries.
Ses propos vont atteindre des millions de gens et façonner la vision que les gens ont d'un des plus grand monuments de l'Histoire humaine (en partie). A partir de là , un peu de respect envers les faits lui arracherait pas la gueule.
Les historiens qui vont encore devoir réparer les dégâts.
Réveille toi a part les français, le reste de l'Europe le voit plus comme un Hitler éco+ qu'un grand homme.
Et il est très loin des Alexandre le Grand, César ou Gengis Khan dans les plus grands conquérants.
Alors non.
Chez les anglos-saxons, c'est marrant à dire, mais tu trouves les plus grands fanats de napoléons.
Les russes l'aiment bien, les polonais l'idolisent, les scandinave ont rien contre lui, les allemands l'apprécient, les italiens également...
Nan, y'a vraiment que les espagnols pour le détester, et ils ont leurs raisons pour le coup.
Napoléon cet adepte de la paléopill
Données du topic
- Auteur
- TavistocK18
- Date de création
- 16 novembre 2023 Ă 21:51:35
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