L'auteur est tellement pauvre qu'en été il fait tournoyer des eskimos dans sa chambre et il dit qu'il a la clim'
L'auteur est tellement pauvre que quand il se promène au bord d'un étang les canards lui jettent du pain
L'auteur est tellement pauvre que quand il se promène en ville les gens l'arrêtent et lui demandent s'il a perdu une chaussure. Il répond que non, il en a trouvé une
L'auteur est tellement pauvre que quand il se pose sur un banc en ville les clochards lui filent une pièce
L'auteur est tellement pauvre que son porte-monnaie, c'est comme un trou noir, tout ce qui s'en approche disparaît
L'auteur est tellement pauvre que quand il se promène dans le quartier, les ordures l'arrêtent et lui demandent si il veut être recyclé
L'auteur est tellement un déchet que quand il traîne dans son quartier, même les poubelles s'approchent de lui en mode « Hé, mec, t'aimerais pas qu'on te transforme en quelque chose de plus utile ? »
Quand même les poubelles pensent que tu vaux mieux en tant que tas de matières premières recyclables, tu sais que t'es dans la dèche la plus totale