Le CUL de Jada STEVENS, une EMPYRÉE MAJESTUEUSE
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C'est dans une famille séfarade traditionnelle du nord du Maroc que grandit la jeune Jada, élevée principalement à base de pastilla de pigeonneaux 100% KOSHER. À l'âge de 15 ans, son père, Moshération remarque que le cul de sa fille, gonflé comme un knafeh qui serait resté un peu trop longtemps au four pourrait faire la joie d'un marchand du village, en échange de quelques shekels, qui permettrait à la famille d'acheter un nouvel immeuble en ville. Un dimanche matin, il chargea sa fille à l'arrière de sa camionnette pour faire une virée en ville, et après avoir rejoint la place du marché, il dévoila son cul, comme on lève le voile sur une oeuvre d'art, et rapidement, un groupe se rassembla autour de la jeune vierge peu farouche, plus cambrée qu'un cheval de course, exposant son cul comme s'il était mis à l'honneur dans une vitrine du musée du Louvre. Rapidement, les hommes se mirent à dégainer les liasses de shekels, comme s'ils s’apprêtaient à acheter un vulgaire sac de semoule... Mais quel sac ! Il semblait contenir la double ration.
Et c'est Cheliel Maïm qui rafla la mise, ce jeune artisan couscousier aux olives, maître émérite dans son domaine, et reconnu par tous les gourmets de Tel Aviv comme étant l'étoile montante de la gastronomie du croissant de lune venait de remporter la baraka. Une fois rentré chez lui, il contempla ce cul des heures durant, comme un tableau de maître... Sa forme de makroud, symbole des dieux de la pâtisserie orientale, injecté d'huile de palme donnait à ce cul une apparence massive et onctueuse. Il allait maintenant pouvoir à son tour y injecter son nectar d'amour comme une offrande divine. Jada lui tendit alors son gros boule juteux à souhait, et quémande la pété, le cul élevé vers les cieux donnant à la chambre du couple une aura céleste. Le jeune couscousier attiré par l'odeur du Haz el hanout bondit sur l'occasion... Rapidement, il eût l'impression de culbuter un sac de pois chiche bien rempli, chaque coup de reins résonnait comme un coup de poing dans un sac de frappe.
Depuis, au village, une légende se murmure aux coins des maisons, elle raconte que le cul de Jada, pressé comme un citron, verrait suinter par chaque port de sa peau un liquide graisseux, comme une eau de jouvence, épaisse et visqueuse, si nourrissante qu'elle pourrait régaler l’Afrique toute entière, et faire grossir les biafrais du Nigéria en moins d'une semaine. Jamais ce jus de cul ne fût commercialisé, mais on raconte que Cheliel Maïm abandonna son poste de chef artisan couscousier, et se nourrit de cette mixture élémentaire jusqu'a la fin de ses jours...
Le 25 octobre 2023 à 13:53:10 :
J'ai vu qu'elle continue sa carrière d'actrice porno alors qu'elle est devenue maman l'an dernier, j'étais choqué, pauvre enfant.
Le pauvre fils de pute
Le 25 octobre 2023 à 13:53:10 :
J'ai vu qu'elle continue sa carrière d'actrice porno alors qu'elle est devenue maman l'an dernier, j'étais choqué, pauvre enfant.
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Données du topic
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- GrandRemplaseur
- Date de création
- 25 octobre 2023 à 13:52:16
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