[ALERTE] La COLONISATION EUROPENNE a SUPPRIMÉ l'ESCLAVAGE en AFRIQUE

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5712715f.texteImage

Et oui, si les Européens et les Judokas sont en effet responsables de la Traite atlantique, ils ne font que détourner à leur profit une large part de cette pratique africaine totalement traditionnelle en Afrique.
La traite ne fut possible que parce que des Noirs capturaient d’autres Noirs.

Après la décolonisation, l'esclavage reprend...

« Avant la colonisation, les Arabes vendaient les noirs du Soudan ; la colonisation mit un terme à ces pratiques. L’indépendance venue, les anciennes coutumes s’imposent avec force et, après une parenthèse de soixante-dix ans, les Dinkas redeviennent la proie des marchands d’esclaves ».
Bernard LUGAN.

Le 25 octobre 2023 à 19:20:07 :

Cette tignasse hérissée est la preuve d'un grand grouillement cérébral, ce doit être un grand intellectuel

Le 25 octobre 2023 à 19:21:33 COUSINED____-- a écrit :

Le 25 octobre 2023 à 19:20:07 :

Cette tignasse hérissée est la preuve d'un grand grouillement cérébral, ce doit être un grand intellectuel

moumoute epaisseur 10cm pour protéger du froid le turbo processeur qui lui sert de cerveau et toi

lors d'une chute le cerveau est aussi protégé par l'epaisseur des cheveux

Le 25 octobre 2023 à 19:21:45 :
aucun noix au maghreb car ils leur coupaient les noix

Exact, d'ailleurs la traite existe toujours en Afrique, comme au Soudan ou en Mauritanie.

Certains anciens esclaves témoignent :Francis Bok, fils de paysan de l’ethnie Dinka (ethnie non-musulmane du sud-Soudan, les Dinka sont soit animistes, soit chrétiens), a relaté son enlèvement par des miliciens arabes dans une biographie maintenant célèbre. À l’âge de 7 ans, Francis Bok était envoyé par sa mère au marché local pour vendre des œufs et des haricots, mais des cavaliers arabes armées font irruption dans le marché, tuent les femmes et les hommes et capturent les enfants.
Le raid esclavagiste arabe vécu par Francis Bok est un massacre:
« The Dinka Men were lying all over the marketplace. My parents were back at our farm . . . I saw more dead bodies than I could count - some without heads, others looking as if they had just decided to lie down in the dust and go to sleep. How did I feel? People always ask me how I felt at that moment, and all I can answer is that I had never felt such terror, confusion, and helplessness befor -or since. I wanted my mother; I wanted my father to pick me up onto his shoulders and carry me away from this. I felt so many feelings at once that I suddenly felt nothing. My entire body and mind turned numb as I waited to be killed. »
Francis Bok devient ainsi l’esclave d’un fermier arabe, pendant 10 ans. Après des tentatives de fuite, il réussit cependant à s’échapper à l’âge de 17 ans, puis parvient en Égypte, et aux États-Unis. Son témoignage est la preuve poignante que l’esclavage des noirs existe encore en terre d’Afrique et sous des formes extrêmement violentes.

il apparaît illogique de dénoncer toujours et encore une traite européenne abolie depuis deux siècles, mais ne jamais pointer du doigt une traite arabo-musulmane qui non seulement, n’est pas éteinte, mais sévit de la façon la plus barbare possible.